Les psychiatres ont conclu que le terroriste musulman qui a assassiné la femme juive Sarah Halimi en criant allahu Akbar dans son appartement parisien en 2017 n’est pas apte à subir un procès en raison de sa «capacité mentale affaiblie» au moment du meurtre.

Les avocats représentant la famille ont exprimé leur indignation à la nouvelle que le meurtrier musulman pourrait encore échapper à un procès. La femme juive orthodoxe Sarah Halimi, 65 ans, a été battue à mort par son voisin musulman, Kobili Traoré, âgé de 27 ans, en avril 2017.

Les voisins ont déclaré avoir entendu Traoré crier «allahu akbar» avant de jeter Sarah Halimi d’un balcon :  ‘J’ai tué le démon’, a-t-il crié en arabe, selon les médias français. Des voisins auraient déclaré avoir entendu le terroriste musulman crier qu’il voulait tuer la vielle femme juste avant le meurtre.

En février 2018, le meurtre brutal de Sarah Halimi a été déclaré «attentat antisémite», à la suite du tollé général provoqué par le refus des autorités françaises de condamner le meurtre en tant que crime de haine anti-juif. Selon certaines informations, la troisième évaluation du terroriste musulman a révélé qu’il n’avait pas de maladie mentale, mais qu’il ne pouvait être tenu pour responsable de ses actes au moment de l’assassinat de Halimi, car il était dans un état de «délire aigu». Il a été rapporté dans le passé que le terroriste musulman était sous l’influence du cannabis au moment du meurtre.