MISE A JOUR 18:59:35 :
Les FDI rejettent les publications des différents médias sur le renforcement des forces dans le nord de notre pays.
Selon la nouvelle, le chef d’état-major a été chargé de renforcer les forces dans le nord du pays, de peur d’envahir des terroristes ou d’attaques terroristes de la Syrie et du Liban sous la direction de l’Iran.
Le porte-parole de Tsahal a déclaré : “Il est important de préciser qu’aucune directive sur le renforcement des forces dans le nord n’a été donnée aujourd’hui. Le message prétendument publié en notre nom est faux. La frontière civile à la frontière nord est en pleine routine et il n’y a pas de directives pour les citoyens. Les forces de Tsahal sont constamment prêtes à faire face à de nombreux scénarios. Selon l’évaluation de l’état des forces de Tsahal, elles sont préparées et déployées en fonction des besoins.
Mais il y a tout de même une situation tendue, on peut pas se le cacher car en effet, le brigadier général Amit Fisher, a informé les responsables des autorités du nord de la situation opérationnelle la semaine dernière : “Le front intérieur est en cours et nous travaillons à le préserver. Les FDI ont augmenté leur niveau de préparation, de défense et d’attaque. De nombreux efforts de renseignement et opérationnels sont en cours pour maintenir la sécurité des résidents. Nous avons une responsabilité partagée. “
Selon Maariv et Walla, en raison de la tension à la frontière nord, le chef d’état-major, le général Aviv Kochavim, a commencé à augmenter le nombre de soldats à la frontière à partir de la soirée, par peur d’attaques.
L’armée a aussi renforcé le déploiement du dôme de fer dans tout le pays du nord au sud avec une alerte de l’armée de l’air dans toutes les bases pour rester sur ses gardes.
Netanyahu a invité le chef de l’opposition Benny Gantz dans son bureau pour l’informer des dernières informations sur la sécurité.
قوات الاحتلال تنصب بطارية قبة حديدية في شمال #فلسطين المحتلة تحسباً لأي تصعيد. pic.twitter.com/zak0c8M92R
— شبكة قدس الإخبارية (@qudsn) 26 août 2019
Le président libanais et la coalition représentant la milice chiite en Irak réagissent fermement à la série d’attaques imputées à Israël. “C’est la même chose que de déclarer une guerre. Nous n’accepterons personne qui nous menace, notre droit de défendre notre souveraineté”, a déclaré le président Aoun à la suite de l’escarmouche à Dahiya.
Aoun a porté cette accusation lors d’une réunion avec le Coordonnateur spécial des Nations Unies pour le Liban, Jan Kubis, alors que les tensions régionales avaient monté en flèche à la suite d’une série d’attaques au Liban, en Syrie et en Irak imputables à l’aviation israélienne.
“L’Alliance du Fatah” en Irak a aussi réagit : “Il s’agit d’une déclaration de guerre, les Etats-Unis sont responsables des attaques israéliennes”.
Aoun a déclaré à Kubis qu’Israël était responsable d’une attaque lundi matin à la frontière syro-libanaise et d’une explosion de drones dans la banlieue de Beyrouth la veille.
Aoun, un allié du groupe terroriste du Hezbollah soutenu par l’Iran, a déclaré qu’Israël violait une résolution de l’ONU mettant fin à la guerre de 2006 entre Israël et le Hezbollah, le dernier affrontement majeur opposant les deux hommes.
“Nous sommes des gens qui recherchent la paix, pas la guerre, mais nous n’acceptons pas d’être menacés par qui que ce soit”, a déclaré Aoun.
La municipalité de la ville de Safed a organisé une réunion d’urgence pour se préparer aux urgences, examiner l’efficacité des abris de la ville et se préparer à tout scénario soudain.
Le porte-parole de l’armée israélienne a annoncé que la chef d’état-major, le général Aviv Kochavi, a ordonné de renforcer la zone frontalière à partir de ce soir en prévision d’une éventuelle escalade.
Plus tôt dans la journée, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a convoqué le chef de l’opposition israélienne et ancien chef d’état-major, Benny Gantz, pour qu’il assiste à un briefing urgent sur la sécurité des derniers développements.
Maariv a noté que les consultations sur la sécurité se dérouleraient en présence du président du Conseil de sécurité nationale et du secrétaire militaire.
L’armée israélienne et les services de sécurité sont en état d’alerte suite à l’escalade des tensions sécuritaires entre Israël et le Hezbollah au cours des deux derniers jours, selon un rapport publié par la radio israélienne.
Les médias arabes ont annoncé lundi matin que des avions israéliens avaient effectué une frappe aérienne au fond du Liban sur une base appartenant au Front populaire de libération de la Palestine (Commandement général), un groupe terroriste basé en Syrie combattant aux côtés du dictateur syrien Bashar Assad.
La base est située dans la vallée de la Bekaa, dans l’est du Liban, près de la frontière avec la Syrie.
Tôt dimanche matin, deux UAV se sont écrasés dans et autour d’un bastion du Hezbollah dans le sud de Beyrouth, endommageant un bureau appartenant au groupe.
Israël n’a pas pris la responsabilité de l’un ou l’autre de ces incidents.
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