L’alya francaise reste toujours compliquée. La France est un pays social avec beaucoup d’aides, mais malheureusement aujourd’hui de plus en plus antisémite à cause de la montée islamiste.

Le Juif de France aime ce pays, et il est toujours arrivé à s’intégrer tout en gardant son judaïsme sans l’imposer aux autres, comme cela se fait aujourd’hui dans toute l’Europe par l’Islam radical.

Les nouvelles sont plus ou moins bonnes concernant cette alya française, selon un rapport de l’Institut israélien, The Jewish People Policy Institute, où 200.000 Juifs français (40% de toute la communauté) ont exprimé leur intérêt pour l’alyah dans deux enquêtes récentes.

Mais la mauvaise est une baisse prévue de 40 % de cette alya pour les raisons diverses :
– Manque de réponse en termes d’emplois
– Manque de reconnaissance des diplômes
– Mauvaise intégration des  » olims  » (la langue, la mentalité israélienne ) au sein de la société israélienne.

Ce boom de l’immigration française de ces dernières années en Israël, est aujourd’hui ralenti de 40% pour cette année à venir selon le rapport The Jewish People Policy Institute.

Et pourtant Israël, a proposé de nombreuses aides pour ces olim :

– Des aides financières (sal Klita)
– La création d’organismes visant à accompagner cette communauté

 » L’une des préoccupations majeures est qu’ils auront du mal à travailler dans leur domaine d’activités ou gagner un salaire auquel ils sont habitués (…) Certains Juifs français retardent leur alyah ou préfèrent d’autres pays à Israël pour ces raisons « , note l’Institut.

Alors quelles sont les solutions selon l’Institut ?

– Recentrer l’aide du gouvernement sur les olims déjà installés en Israël au lieu de mobiliser des fonds dans des campagnes à l’extérieur du pays

 » Il est nécessaire de fournir une réponse en terme d’emplois, de reconnaissance des diplômes, de formation professionnelle et d’aide à trouver un logement abordable « , note le rapport.

Selon les estimations du think tank, 5.000  » olims  » devraient arriver fin 2016.