Dans le cadre de l’ouverture de l’Assemblée générale des Nations Unies ce 25 septembre, le Secrétaire général Ban Ki-Moon a invité le président Obama à déjeuner avec le président égyptien Mohammed Morsy et le président iranien Mahmoud Ahmadinejad. Obama va-t-il accepter cette invitation ?

D’après des sources diplomatiques, le nouveau président égyptien retrouvera son homologue iranien à l’ONU, le mois prochain à New York.

En outre, Ban Ki-moon, a invité le président Obama à se joindre au président égyptien Mohamed Morsi et au président iranien Mahmoud Ahmadinejad lors d’un déjeuner VIP, le 25 septembre, jour d’ ouverture de l’Assemblée générale.

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui ne participera pas à cette ouverture, enverra son ministre de la Défense Ehud Barak à sa place. Tous deux ont critiqué les efforts diplomatiques internationaux concernant le programme nucléaire de l’Iran.

Les dirigeants israéliens ont commencé à étudier la possibilité d’une frappe militaire contre les installations nucléaires de l’Iran, car ils craignent le développement d’armes nucléaires qui seraient dirigées contre Israël. L’Iran a déclaré à plusieurs reprises que son programme nucléaire était orientée à des fins pacifiques, mais a refusé de coopérer avec les inspecteurs internationaux.

Les Etats-Unis et d’autres pays occidentaux ont demandé à Israël de se limiter aux sanctions pétrolières de l’Iran afin de si possible modifier le comportement des dirigeants de la République islamique.(la bonne blague!)

Pendant ce temps,  » l’autorité palestinienne  » du président Mahmoud Abbas souhaite poursuivre sa demande d’une reconnaissance étatique pour « son peuple » lors de  l’assemblée de ce 29 septembre. Bien que n’étant pas membre de l’ONU, M. Abbas est considéré comme le chef de file officieux d’un « état de fait ».

Les Etats-Unis et Israël s’opposent catégoriquement à la stratégie palestinienne, insistant sur le fait que seules des négociations directes entre dirigeants israéliens et palestiniens pourront résoudre leurs différends et parvenir à une solution à deux Etats.