Amnesty International  continue dans son parti pris anti-israélien, en contradiction avec tous les témoignages non-arabes sur les événements de jeudi :

Les forces israéliennes ont attaqué des foules pacifiques de Palestiniens alors qu’elles se sont rassemblées pour la première fois à la mosquée al-Aqsa, à Jérusalem cet après-midi depuis qu’Israël a retiré les récentes mesures de sécurité imposées sur le site, selon le personnel d’Amnesty International sur les lieux.
« Les forces israéliennes ont commencé à tirer des grenades d’étourdissement, des gaz lacrymogènes et des balles à éponge dans une foule paisible alors qu’ils se tenaient à l’entrée de la mosquée Al-Aqsa et à l’intérieur. Il semblait que c’était une attaque entièrement non provoquée. Certains Palestiniens ont jeté des bouteilles d’eau vides en retour. D’autres, ont commencé à jeter des pierres », a déclaré Magdalena Mughrabi, directrice adjointe au Moyen-Orient et Afrique du Nord à Amnesty International.

Le journaliste autonome Jake Hanrahan a tweeté en réponse :

I was there. There wasn’t one single vantage point where you could tell either way who started it.

Même Asaf Ronel, éditeur de nouvelles mondiales de Haaretz qui est un anti-sioniste avoué, a contesté cette description:

It’s a complex scene. Fact that from point of view of @amnestystaff it seemed unprovoked doesn’t mean nothing happened somewhere else https://twitter.com/Sophiemcneill/status/890632192350502914 

Le parti pris d’Amnesty est encore plus flagrant lorsque vous considérez que pendant les deux dernières semaines, Israël a tout fait pour calmer les choses tandis que les dirigeants palestiniens ont tout fait pour enflammer et inciter à la violence au point de tuer trois membres d’une même famille à Halamish.

 

2 Commentaires

  1. C est drôle plus de 300.000 mort en Syrie pas un mot mais bon antisémite dans l âme !!! Les arabes sa ne les dérangent pas ce qui dérange c est le juif !!!!!!