Muraille à Téhéran
Il est vrai que la politique d’apaisement, appliquée depuis sa montée au pouvoir est erronée et celle-ci s’est trouvée l’être à maintes reprises, sans pour cela dévier d’un pouce l’attitude du président des USA, Barak Hussein Obama et son administration. Jouer à l’autruche ne vous protège pas du mal qui se précipite en courant vers vous et c’est bien ce que le premier ministre israélien Netanyahu ne cesse de marteler aux oreilles bouchées de son allié principal américain concernant la menace nucléaire iranienne.
Une petite analyse nous mène vers l’étrange alliance créée entre plusieurs facteurs, cyniquement et faudrait-il l’avouer, adroitement manipulée par les nombreux affluents de la terreur.
Régional d’abord, un conflit estimé bénin entre Israël et une poignée de palestiniens, prend soudain des dimensions planétaires. Toutes les concessions jusque-là proposées tant par les présidents américains que par la succession de gouvernements israéliens n’ont rencontré qu’un refus obstiné et arrogant… par des palestiniens qui ne cessent de miser sur la terreur locale et internationale pour convaincre les USA et l’Union Européenne, qu’il n’y aura pas de paix tant qu’Israël et l’Amérique impérialiste existent.
Mais est-ce vraiment l’objectif réel ou est-ce plutôt un subterfuge sournois pour détourner l’attention du monde libre de ce qui couve en réalité ?
Car, ils sont bien prétentieux et opérants ces rebelles qui n’amusent plus personne, si la terreur est capable de frapper au cœur même de la plus grande puissance du monde.
Où est l’erreur ? Et où les démocrates se sont-ils trompés?
Les palestiniens, dans leur lutte perpétuelle contre Israël ont directement et implicitement impliqué l’Occident entier, à la joie monstrueuse de tous les pays arabes qui cherchent à faire d’une pierre deux coups « détruire Israël et confisquer l’Occident en usant de deux tactiques brillantes : la menace de la terreur qui érode et sape le moral des pays occidentaux démocratiques, et l’infiltration à travers une immigration massive d’éléments terroristes parmi les gens du cru.
La démocratie gauchiste favorisant le multiculturalisme, contestée par la moitié de l’hémisphère incluant les pays arabes, les monarchies et les dictatures, a transformé un petit conflit régional qui semblait si facile à résoudre entre les palestiniens et les israéliens, en un tremplin efficient vers l’autodestruction du monde libre.
Al-Qaeda, le Hamas, le Hezbollah, le Djihad islamique et une multitude de groupuscules de terroristes appartiennent à la même Hydre islamique, née en Iran avec la chute du Chah et la prise de pouvoir de Khomeiny. Dictature remplacée par une autre, plus outrageuse, extrémiste et anti-occidentale.
Répétition d’une erreur vécue !!!
Magistralement épaulé par l’occident, ce scénario se répéta quelques décennies plus tard en Égypte, Tunisie, Libye, Syrie… alors que l’infiltration des éléments islamiques avait atteint les proportions requises pour ébranler l’équilibre des nations libres. Ainsi, l’Europe n’ose plus se confronter aux insultes et outrages répétés, infligés par les musulmans, qu’elle a volontairement accueillis en son sein, allant jusqu’à accepter l’inclusion partielle d’une autre loi – la Charia – et à créer des zones de charia à l’accès interdit aux non-musulmans (Royaume-Uni).
Les USA aujourd’hui se voient de même, contraints de lutter contre l’érosion ininterrompue des islamiques qui ont déjà envahi les campus des universités, l’ONU, le système éducationnel, la politique et l’administration.
La coupe est pleine, dirait le sage….
La lutte a commencé et ne cessera que lorsque le vainqueur sera défini…
L’Europe et les USA, seront-ils en mesure d’opérer un nettoyage qui commence à devenir nécessaire et impératif ? Obama aura-t-il assez de cran pour admettre l’échec du multiculturalisme et prendre « le taureau par les cornes » en créant un front imperméable face aux nouveaux défis lancés par les terroristes dépêchés par les mollahs iraniens ?
Permettez-moi d’en douter.
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