Ce vendredi soir, Tariq Ramadan, poursuivi par la Justice dans le cadre d’une enquête pour « viol » et « viol sur personne vulnérable », a été mis en examen et au bout de 48 heures de garde à vue où il a été confronté à l’une des victimes présumées, le célèbre islamologue a été incarcéré.
Il a refusé de signer le procès-verbal de confrontation avec la seconde femme, âgée de 47 ans et handicapée à la jambe, ayant déposé plainte contre lui et souhaitant garder l’anonymat.
Un élément nouveau, en plus des indices matériels (SMS, photos et captures d’écran notamment), a été porté à la connaissance de la Justice : la victime présumée a indiqué connaître l’existence, chez l’islamologue suisse, d’une cicatrice de trois centimètres entre le sexe et le pli de l’aine, relate France Info. On ne sait pas ce qui a causé une telle cicatrice…
Tariq Ramadan, qui nie le viol et tout acte sexuel avec elle, a refusé de signer le procès-verbal de l’Officier de Police Judiciaire qui a acté le déroulement complet de la confrontation.