Le France change de visage et de culture, et l’ancien ministre de l’intérieur Collomb en a déjà fait le frais en quittant le gouvernement actuel qui est selon lui ne fait pas face à cette montée menaçante de l’islamisation radicale.

Il y a quelques jours, une simple émission sur TF1 a entraîné un scandale, concernant la traduction du mot « Starfoulah » et un nouveau cas comme celui d’une mère qui a choisi d’appeler son fils « Djihad » qui n’est autre que la traduction de la « guerre sainte », la même que Daesh a lancé dans le monde et en France dans des attentats sanglants. La mairie de Dijon a décidé de saisir la justice pour faire annuler ce choix de prénom.

Le procureur de la République de Dijon indique qu’une « assignation en matière d’annulation de prénom » a été envoyée « à l’attention de la mère de l’enfant ».

« Le parquet de Dijon a bien reçu le dossier de la part du maire de Dijon. Nous allons ce jour délivrer une assignation en matière d’annulation de prénom à l’attention de la mère de l’enfant pour une audience devant le juge aux affaires familiales de Dijon » a ajouté le procureur de la République Eric Mathais.

« Même si le prénom de Jihad ou Djihad est un prénom attribué dans le monde arabe et qui signifie sur le livre des prénoms du monde arabe ‘combat sacré, guerre sainte, travail, effort’ et qu’il peut donc avoir un sens positif, il n’en demeure pas moins que dans l’opinion publique et au vu du contexte terroriste actuel, ce prénom est nécessairement associé aux mouvements islamistes intégristes » a détaillé le magistrat qui explique craindre « une stigmatisation, voire des moqueries ou des remarques désobligeantes » pour l’enfant.

« Je l’appellerai Jahid »
« Si [ce prénom] n’est pas accepté, j’échangerai deux lettres et je l’appellerai Jahid » a déclaré la mère du nouveau-né ce samedi, au quotidien Le Bien Public.

Ce n’est pas la premiere fois, qu’un enfant est victime de cette islamisation radicale, car en effet, en avril dernier, un autre nouveau-né avait été appelé  « Jihad » par un couple de Haute-Garonne. La justice avait finalement décidé que l’enfant s’appellerait « Jahid ».

Donc nous savons tous en France, ce que révèle aujourd’hui reellement le prénom « Jahid ».