Les palestiniens affirment posséder des puits de gaz en mer méditerranée, depuis 2012 selon le gouvernement du Hamas qui aurait détecter ces champs de gaz sur la plage de la mer de la bande de Gaza à un moment où le « pouvoir » a vendu ces puits lors de transactions suspectes par Israël selon les médias palestiniens. Mais qui est ce « pouvoir » et est ce qu’Israël a volé les champs de gaz ?
Toujours selon les médias arabes, une équipe navale spécialisée à Gaza a pu accéder aux zones sou-marines en question qui révèlent de nouvelles zones de puits de gaz dans la bande de Gaza.
Ces sources de gaza auraient été envoyé au sein d’échantillons à des pays arabes et étrangers qui ont confirmé les résultats de l’existence de nouvelles zones de gaz, selon l’enquête d’ Al Jazeera.
Une enquête a révélé sur les médias arabes dont la véracité est difficile à prouver a annoncé ce dimanche que du gaz était enfoui au large de la côte de Gaza, que les autorités palestiniennes et internationales ne sont pas en mesure d’extraire, alors que « l’occupation israélienne » continue de voler ces champs de gaz palestiniens.
Le chercheur de l’enquête, Tamer al-Mashal, dans le programme « Quel est le plus grand », affirme que la mer de Gaza, contient des puits de gaz, estimés à une valeur des revenus annuels en cas d’extraction de 4,5 milliards de dollars par an, ainsi que les documents prouvant la pureté du gaz, la proximité des côtes de Gaza et sa présence dans l’eau des Territoires palestiniens, à une profondeur de 600 mètres sous la mer, facile à extraire et à faible coût financier.
L’enquête accuse Israël de vider ces champs de gaz en totalité, qui dépasse 1,5 billion de pieds cubes de gaz, » ce qui est suffisant pour les Palestiniens pendant 15 ans. »
Selon l’enquête, le gaz aurait été découvert en 1996, après que le regretté ingénieur palestinien Ismail al-Mashal, qui travaillait dans le secteur pétrolier au Qatar et en Iraq, ait tenté de fouiller, après l’approbation du président palestinien Yasser Arafat sur proposition d’exploration, et d’extraction de gaz.
Selon l’enquête, lors des négociations avec la société, l’Autorité palestinienne négociait également une autre voie par l’intermédiaire d’un responsable nommé Mohammed Rashid, respon-sable palestinien résidant aux Émirats arabes unis, poursuivi pour corruption et blanchiment d’argent.
L’enquête a révélé que le regretté ingénieur était surpris et que l’Autorité palestinienne avait accepté un accord qui avait été rejeté, « parce que c’est injuste et inéquitable pour les Palestiniens, propriétaires de gaz ».
L’accord stipule que BG recevra 60% du produit, et que le contractant sous contrôle palestinien, CCC, obtiendra 30%, tandis que le Fonds d’investisse-ment pour la Palestine obtiendra 10%. Il a également déclaré que la partie palestinienne devrait informer la partie israélienne de tous les détails du projet.
L’enquête a révélé que l’accord n’avait pas été présenté au Conseil législatif palestinien et n’avait pas été publié dans la presse officielle. La vérité et les détails restaient jusqu’à présent absents des Palestiniens.
L’enquête a produit des enregistre-ments sonores de responsables palestiniens de l’époque qui surveillaient le problème du gaz, refusant de lui parler, affirmant qu’il était sensible ou qu’ils n’étaient pas autorisés à le faire.
L’enquête a révélé qu’Israël « n’avait pas donné son nom à l’accord, mais j’ai assisté à tous les détails sur le terrain », « immédiatement après la signature de l’accord entre l’Autorité et BG Gas, Israël a entamé des négociations avec la société ».
« Israël » à l’époque, selon l’enquête, et selon lequel le gaz extrait de la mer ne paierait pas le prix à l’Autorité palestinienne, mais proposerait en échange la réduction de l’endettement et construirait également une centrale électrique près de la frontière de Gaza pour approvisionner le secteur électrique, « Elle s’est vaguement retirée de l’accord, en raison de la futilité du projet et des restrictions israéliennes.
En 2012, le Hamas, qui gère la bande de Gaza depuis 2006, a essayé de creuser pour trouver du gaz par des moyens locaux primitifs, mais le manque d’outils l’empêchaient. Ce qu’il contenait était suffisant pour le secteur pendant 15 ans.
Selon l’enquête, toutes les informations déclarées sur l’existence de puits de gaz uniquement dans la mer de Gaza sont inexactes et, selon les experts, pas moins de huit, tout en étant témoins d’une grande cécité et planant autour de lui des soupçons de corruption.
En 2015, en présence du gouverne-ment de réconciliation, dirigé par Rami al-Hamdallah, l’Autorité palestinienne a annoncé la recherche de sociétés russes et chinoises à la recherche de gaz.
Mais « Israël » a mis la main sur les champs de gaz, et a commencé à explorer et à les extraire selon l’enquête.
Le réseau Quds News a recueilli un certain nombre d’avis sur l’enquête sur le gaz, notamment sur le rôle de l’Autorité palestinienne, de l’Egypte et d’autres personnalités, avec la participation de « l’occupation israélienne » au vol des gisements de gaz à Gaza, tandis que d’autres estimaient que l’enquête n’avait entraîné aucune nouvelle conclusion dans ce dossier.
De son côté Israël ne confirme aucune de ces informations.