Après avoir conclu un accord de six mois avec Gaza, de hauts responsables militaires doutent que le calme dure longtemps.

La zone de pêche est étendue à 15 miles, le «carburant qatari» coule sans à-coup, ainsi que les paiements en espèces. Aucun accord n’a été conclu sur le port, le financement de l’emploi et la création d’une zone industrielle à la frontière avec l’Egypte.

L’armée estime que toutes ces mesures n’auront pas l’effet souhaité sur la situation dans les régions du sud.

Le Hamas craint les critiques du Jihad islamique et les terroristes de cette organisation ne vont pas arrêter les provocations avec le lancement de roquettes, d’obus et de ballons incendiaires.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Le Hamas a également peur d’interdire complètement les manifestations à la frontière, même si elles étaient beaucoup plus calmes la semaine dernière.

La condition de l’accord de paix est de ne pas s’approcher de la clôture à moins de 300 mètres, mais cette condition n’est pas respectée.

Les FDI estiment que la détérioration de la situation économique à Gaza pourrait pousser le Hamas à une nouvelle série de confrontations afin de rester au pouvoir.

L’armée se prépare à une éventuelle action militaire dans le secteur.