C’est une histoire vraiment incroyable sur le président Trump.
Mais tout d’abord, quelques mots d’explication sur la Cour Internationale de la Haye, un tribunal corrompu. Les soldats de Tsahal ne tremblent que lors de l’audition du nom de la Cour internationale de justice (CIJ) et de la Cour internationale de justice de la Haye qui ne cherche qu’à emprisonner Tsahal en oubliant toutes les atrocités des soldats syriens, irakiens ou du Yemen.
Et donc ce tribunal a décidé de faire aussi trembler les alliés d’Israël, et la cour a décidé qu’elle voulait enquêter sur « les ennemis de la guerre » au sein des troupes américaines en Afghanistan (Après ceux de Tsahal).
Puis… Trump est arrivé et n’a pas parlé mais agit avec une main forte. Il a d’abord annoncé qu’il ne reconnaissait pas ce tribunal, et non seulement qu’il refusait à tous (procureurs, juges, dactylographes et préposés au nettoyage) les visas d’entrée aux États-Unis.
Mais pas seulement, le ministère de la Justice américain poursuiva personnel-lement tous les procureurs et juges de cette cour.
Les sanctions américaines ont commencé avec le refus d’entrée au procureur du tribunal, un musulman de la démocratie « Gambie », Pato Ben Soda, et avertit en même temps, que s’il poursuivait ces procédures contre les soldats américains, il émettra un mandat d’arrêt international contre le groupe de juges et de procureurs tels que définis.
L’avertissement de Trump incluait Israël avec les États-Unis. Vous comprenez ?
Il a explicitement mis en garde les juges et les procureurs de la Cour internationale de justice. « Faites vos muscles sur ce que vous voulez à l’exception des États-Unis et d’Israël » !
Et que pensez-vous qu’il s’est passé ?
Quelques jours plus tard, la Cour internationale de Justice a décidé à l’unanimité de se retirer de l’idée d’interroger des soldats américains.