La preuve de photos publiées prouvent que la soi-disant «ancienne ville palestinienne Sussiya » en Judée Samarie n’a jamais vraiment existé, selon un rapport de l’Agence de Nouvelles de Tazpit.

La saga a commencé, il y a quinze ans, quand une famille arabe a érigé une habitation illégale à proximité du site archéologique de l’ancienne ville de Sussiya dans la région de Hébron.

Comme le temps a passé, la tente est devenue une structure de fortune, qui a entraîné plusieurs autres structures. Ces colonies palestiniennes illégales avec le soutien de militants d’extrême gauche, ont créé la ville «ancienne» de « Sussiya».

Essayant de nous faire croire que la ville a été persécutée par les autorités israéliennes, ce qui a été largement couvert par la presse internationale, où ils informaient qu’une ancienne ville arabe, dont les habitants ont été injustement chassés par l’entité sioniste hostile.

Cette information est d’une grande importance, car elle est aussi historique et montre la désinformation des médias manipulés par le mensonge palestinien, car Sussiya’ n’a jamais existé.

En effet, elle n’apparaît sur aucun registre. Le Mandat britannique a tenu une enquête sur les villages en Israël en 1945. Sussiya, la soi-disant « ville palestinienne » n’est pas sur la liste. Des photos aériennes de la région de 1992 et 1999 révèlent un grand terrain sans structures apparentes.

Les photos aériennes à partir de 2012 montrent la présence de 30 structures et tentes. Les «résidents palestiniens » de « Sussiya» viennent de la ville voisine arabe de Yatta, et du clan de la ville de Nuwaj’a.

Il est possible qu’il y ait des petits terrains agricoles appartenant à des Arabes dans la région, et les agriculteurs ont peut-être vécu de leurs champs dans les grottes adjacentes pendant quelques saisons comme c’est la coutume dans la région, mais ce n’était que des habitations précaires occupées quelques mois dans l’année.

La zone se trouve dans la zone C, sous contrôle israélien. La propriété légale des terres est dans une situation ambiguë en raison de l’absence d’enregistrement et de documentation appropriée. La question est actuellement en délibéré devant la Haute Cour de Justice, et jusqu’à présent, les intrus ne sont pas en mesure de prouver que c’est leur propriété.

Des fouilles archéologiques du site ont révélé un véritable ville juive ancienne du nom de Sussiya, datant de la période talmudique. La synagogue a été découverte, elle est une des plus grandes et des plus spectaculaires en Israël. Le sol de la synagogue est recouvert d’une mosaïque en hébreu et en araméen, on peut remarquer aussi des parties d’un autel de marbre pour les prières. De nombreux bains rituels (mikvé) ont aussi été retrouvés partout dans la ville.

La notion de « Sussiya, ancienne ville palestinienne» est promue par des organisations d’extrême gauche et financée par les pays européens. Ils mènent une guerre d’usure contre les autorités israéliennes sur la question.

Yigal Dilmoni, directeur général adjoint du Conseil de Yesha, a déclaré sur Tazpit :  «Quinze ans de photos aériennes montrent clairement qu’il n’y avait aucun village arabe sur ce site. Ces structures temporaires qui ont été construites au cours de la dernière décennie ont été érigées illégalement et sans planification urbaine adéquate.  »

« Les Arabes sont venus du village de Yatta et ont raconté à plusieurs reprises des mensonges. Nous sommes heureux que la Haute Cour de justice a établi que ce site n’est pas une « vraie ville palestinienne ». Nous exigeons que l’Etat d’Israël et l’administration civile ne coopèrent pas avec ces actions illégales et respectent la décision de la Cour de faire arrêter ces constructions illégales ».