Comme on le rappellera, la loi sur la transparence des associations promulguée par le député Bezalel Smutrich (à droite) stipule que toute association dont le financement principal provient d’entités étrangères est tenue de le déclarer dans chaque prise de position et chaque débat à la Knesset.
Aujourd’hui, lors d’un débat à la Knesset au sein de la commission des affaires étrangères et de la défense, initié par la députée Tamar Zandberg concernant son allégation de violence des colons dans la récolte des olives, avec des représentants d’organisations de gauche recevant des financements étrangers, un débat a eu lieu, entre Shai Glick, président de B’Tselem et le député Zvi Hauser pour connaitre l’origine de ces versements étrangers.
En effet, le président du comité l’a exigé du représentant de l’organisation Yesh Din, Ziv Sternhal, qui s’est conformé à la demande du président du comité et elle a déclaré les sources étrangères. Interrogée par la présidente de la commission de quels pays étrangers elle reçoit, elle avait refusé de répondre exactement, notant qu’il s’agissait de démocraties européennes.
L’Organisation des droits de l’homme pour la transparence a déclaré qu’il s’agissait d’une réalisation importante. « La loi sur la transparence n’est pas lettre morte. Nous avons maintenant l’intention de faire appel au Président de la Knesset pour qu’il demande clairement à tous les directeurs de commission et présidents de commission que toute organisation recevant un financement d’un pays étranger respecte la loi et la déclare. « Remuez dans les affaires intérieures de l’Etat d’Israël sans les cacher. »