Le fait qu’une citoyenne israélienne de 22 ans (selon d’autres sources, 25 ans) ait traversé la frontière syrienne et ait été arrêté par une patrouille militaire le 2 février, les dirigeants israéliens ont été informés depuis Moscou. Réalisant que la fille détenue n’était pas une espionne, le gouvernement Assad a demandé au Kremlin d’organiser son échange.
À partir de ce moment, le cabinet du Premier ministre, le ministre de la Défense Gantz et le ministre des Affaires étrangères Ashkenazi se sont engagés dans « l’opération humanitaire » pour secourir la citoyenne israélienne.
Les FDI ont découvert que le 2 février, dans l’après-midi, la jeune fille est arrivée à Majdal-Shams, et de là, dans la soirée, elle s’est dirigée vers le Hermon et «a manifestement emprunté un chemin où il n’y a pas de caméras de surveillance». Il n’y a pas de véritables barrières frontalières dans la région montagneuse et les militaires n’ont rien remarqué.
La fugitive a atteint le village druze de l’autre côté de la frontière, où elle a été détenue par les services de renseignement syriens. Bientôt, le gouvernement Assad a demandé à des amis russes d’offrir un échange de prisonniers avec Israël. Le Kremlin a volontiers accepté «d’aider Israël sur la question humanitaire».
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