Les scientifiques de lâUniversitĂ© de Tel Aviv intĂšgrent des cellules cardiaques avec des nano-fibres constituĂ©es de particules dâor pour crĂ©er des patchs cardiaques qui remplacent les tissus cardiaques endommagĂ©s. Les particules dâor amĂ©liorent la signalisation Ă©lectrique entre les cellules afin de renforcer la contraction du muscle cardiaque.
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Certaines cellules du tissu cardiaque ne peuvent pas se multiplier ou régénérer le muscle cardiaque et contient peu de cellules souches, ce qui rend impossible la réparation des tissus.
En consĂ©quence, le cĆur ne peut se contracter, ce qui crĂ©e des dĂ©fis pour les cardiologues qui tentent de sauver des vies, et veulent Ă©viter les cauchemars pour les patients et leurs familles dĂ©sespĂ©rĂ©es.
Ce « patch » cardiaque pourrait remplacer le tissu cardiaque endommagĂ©, il est devenu une prĂ©occupation majeure dans le domaine, et un groupe de scientifiques de lâUniversitĂ© de Tel-Aviv semble lâavoir conçu, avec des nanofibres en or.
Une Ă©quipe dirigĂ©e par le Dr Tal Dvir et Michal Shevach au dĂ©partement de lâuniversitĂ© de microbiologie molĂ©culaire et la biotechnologie utilisent des nanofibres intĂ©grĂ©es constituĂ©es de particules dâor intĂ©grĂ©s avec des cellules cardiaques afin de former des tissus fonctionnels.Â
Leur objectif Ă©tant dâoptimiser la signalisation Ă©lectrique entre les cellules. Lâor peut augmenter la connectivitĂ© des biomatĂ©riaux, selon Dvir : « les particules dâor se contractent beaucoup plus vite et plus fortement, ce qui les rend plus viable pour les transplantations », dit-il.
La recherche a été publiée récemment dans le Journal of Materials Chemistry B.
RĂ©daction francophone Infos Israel News pour lâactualitĂ© israĂ©lienne
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