Il s’agit d’un homme qui vit dans le district Guimel de la ville et depuis plusieurs années, il sort de son appartement une soucca qu’il place sur des poteaux en acier.
Pour s’assurer que la soucca ne présente pas de danger, il ne construit pas la soucca avant qu’elle ne reçoive l’approbation d’un ingénieur qui vérifie son intégrité et détermine qu’elle est stable et sans souci.
Cependant, cette année, à sa grande surprise, il a été surpris de recevoir un ordre de démolition de la municipalité, alors qu’à la lumière de l’ordre, il était tenu de démanteler la soucca dans les sept jours, faute de quoi des poursuites pénales seraient ouvertes contre lui.
Comme mentionné, l’ordonnance a ensuite été modifiée en une interdiction d’utilisation accompagnée d’une amende de 50 000 NIS si elle est utilisée pendant les fêtes.
La veille des vacances, les inspecteurs de la ville sont arrivés, ont clôturé l’endroit avec du ruban adhésif et ont placé un panneau « danger ».
Selon le constructeur de la soucca, malgré le fait qu’il ait présenté à la municipalité un permis d’ingénieur à jour, la municipalité a insisté pour interdire l’utilisation du lieu.
Les responsables de la municipalité sont revenus et ont affirmé lors de pourparlers informels que bien que la soucca ait l’approbation d’un ingénieur, la soucca, selon l’ingénieur municipal, représente un danger et on craint qu’elle ne s’effondre et ne mette ainsi en danger ceux qui y séjournent.
Pour rappel, ce genre de soucca est très courant dans la ville de Bné Brak et on peut en voir dans chaque coin de rue.