Le PDG de Hevrat Hashmal a commenté les détails de l’accord entre Yahadut A-Torah et le Likud, qui avait été précédemment rapporté par Amit Segal.
Entre autres choses, il y avait une interdiction de produire de l’électricitĂ© le jour du shabbat. Les Haredim considèrent que cette Ă©lectricitĂ© n’est pas casher, ils utilisent donc des gĂ©nĂ©rateurs pour alimenter leurs maisons.Â
Il existe de telles communautĂ©s, y compris, par consĂ©quent, le chemin de fer est inclus dans le statu quo. Les trains de Shabbat deviennent immĂ©diatement non casher et les religieux ne peuvent pas les utiliser.Â
Meir Spiegler a expliquĂ© sur 103FM pourquoi cette exigence ne pouvait pas ĂŞtre satisfaite.Â
« Le système n’est pas parfait, il a des failles et des dĂ©fauts, et quelqu’un doit toujours garder un Ĺ“il sur lui, car s’il y a une panne, quelqu’un doit s’en occuper. Vous avez toujours besoin d’une surveillance 24 heures sur 24 – mĂŞme le Shabbat », a expliquĂ© Spiegler. « Si vous voulez dire que personne ne travaillera ces jours-ci et que l’électricitĂ© continuera, alors c’est clairement impossible. »Â
Parlant des coûts de l’arrêt de la production d’électricité, il a déclaré : « Les coûts sont énormes. Pour fournir de l’électricité par stockage d’énergie à une famille moyenne pendant 24 heures consécutives, le coût de la batterie est de 50 000 shekels. D’ailleurs, ces batteries utilisent du lithium, qui est un matériau toxique et polluant. »
Rédaction francophone Infos Israel News pour l’actualité israélienne
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