Le 7 juin 2025, le Hamas a publié une photographie de Matan Tsengaukar, otage israélien capturé lors des attaques du 7 octobre 2023, le montrant recevant une transfusion sanguine. Cette image s’inscrit dans une campagne de propagande visant à manipuler l’opinion publique et à exercer une pression psychologique sur Israël.

Une exploitation médiatique des otages

Le Hamas utilise les images des otages pour susciter l’émotion et influencer les négociations en cours. Cette stratégie cynique vise à présenter l’organisation comme humanitaire, tout en dissimulant ses actes terroristes et ses violations des droits de l’homme.

Une violation du droit international

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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La diffusion de telles images constitue une violation flagrante des Conventions de Genève, qui interdisent l’exploitation des prisonniers à des fins de propagande. Le Hamas démontre ainsi son mépris pour les normes internationales et les droits fondamentaux.

La résilience d’Israël face à la guerre psychologique

Israël, tout en poursuivant ses efforts pour libérer les otages, reste ferme face aux tentatives de manipulation du Hamas. Les autorités israéliennes continuent de travailler avec la communauté internationale pour assurer le retour des captifs et mettre fin aux agissements du Hamas.

Un appel à la communauté internationale

La publication de cette photographie doit inciter la communauté internationale à condamner les actions du Hamas et à soutenir Israël dans sa lutte contre le terrorisme. Il est impératif de faire pression sur le Hamas pour qu’il respecte le droit international et libère immédiatement tous les otages.

Conclusion

La diffusion de l’image de Matan Tsengaukar illustre la stratégie du Hamas consistant à instrumentaliser la souffrance humaine à des fins politiques. Israël, en défendant ses citoyens et en respectant les normes internationales, continue de lutter contre le terrorisme et de promouvoir la paix et la sécurité dans la région.