Infos Israel News | 19 juin 2025 | 12h00

Une attaque iranienne d’une intensité inédite a frappé Israël ce jeudi matin. Plus de 25 missiles et drones ont été lancés en direction de cibles civiles, notamment un hôpital à Be’er Sheva. Le bilan fait état d’au moins 50 blessés, dont quatre grièvement atteints. Selon les analystes de la sécurité israélienne, cette escalade n’est pas une coïncidence, mais une stratégie délibérée de guerre psychologique initiée par un régime iranien en état de panique croissante.

Une offensive contre des civils pour influencer l’opinion

Contrairement à de précédentes salves orientées vers des objectifs militaires, l’attaque d’aujourd’hui visait des infrastructures purement civiles, dans l’espoir de provoquer une onde de choc émotionnelle dans la société israélienne. L’objectif stratégique ? Pousser l’opinion publique israélienne à exiger l’arrêt des frappes contre l’Iran, notamment celles qui ciblent ses installations nucléaires.

« C’est une tentative claire de semer la peur et le doute, un acte de désespoir plutôt que de force », affirme un responsable de la Défense.

Un régime iranien fragilisé sur tous les fronts

Selon plusieurs sources, les frappes israéliennes successives sur les sites nucléaires de Natanz, Ispahan et Fordow ont profondément ébranlé le pouvoir iranien. Ces installations sont des piliers symboliques et stratégiques du régime, et leur neutralisation représente une menace existentielle pour l’élite politico-religieuse.

Les signes de crise intérieure en Iran s’accumulent :

  • Coupures massives d’Internet
  • Fermeture forcée de marchés
  • Tensions bancaires et effondrement de la liquidité
  • Attaques cybernétiques
  • Fuite de populations depuis Téhéran

« Ils vivent cette situation comme le début de la fin. D’où cette violence démesurée, sans retenue, contre nos civils », a expliqué une source sécuritaire israélienne.

Le tir contre l’hôpital Soroka : un signal d’alarme

Parmi les cibles touchées, l’hôpital Soroka de Be’er Sheva, centre médical majeur du sud du pays, a subi des dommages significatifs. Des enfants ont dû être évacués dans l’urgence, sous les yeux du maire, Rubik Danilovitch, présent sur place peu après l’impact.

Israël interprète cette attaque comme un aveu de faiblesse

Du point de vue israélien, le ciblage volontaire de civils — y compris d’un hôpital — démontre l’état de détresse du régime des mollahs :

« Lorsqu’un gouvernement choisit de frapper les citoyens d’une autre nation, c’est qu’il n’a plus de réponse militaire ou politique crédible. Il tente l’intimidation à défaut de stratégie. »

Résilience face à la barbarie

Alors que l’Iran cherche à créer un choc interne pour faire pression sur Jérusalem, les autorités israéliennes répondent par un message de détermination. Les opérations ciblées contre les sites stratégiques iraniens vont se poursuivre. Le public israélien, habitué aux menaces et aux défis existentiels, s’unit davantage dans l’adversité.

Analyse stratégique

Ce changement de tactique iranien – frapper sans discernement des zones civiles – s’inscrit dans une logique de guerre asymétrique, où la peur devient une arme. Cependant, l’histoire montre qu’Israël, confronté à la terreur, se renforce plutôt qu’il ne cède.

La solidarité nationale et la préparation militaire restent les réponses les plus efficaces à ce type de chantage géopolitique.

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