Ce mardi, le « Hezbollah » a pour la première fois en huit ans revendiqué la responsabilité de l’attaque contre les soldats israéliens. Les observateurs militaires ont alarmé les médias en annonçant que peut-être le silence à la frontière nord, établi depuis la Seconde Liban a pris fin.
Une guerre entre Israël et le Liban a débuté en 2006 en réponse à un incident à la frontière avec l’assassinat et l’enlèvement de soldats de Tsahal, depuis le « Hezbollah » au cours des dernières années s’est comporté avec une extrême prudence, craignant non seulement de provoquer Israël, mais aussi d’éviter une attaque de Tsahal contre ses membres.
Récemment, la situation a changé. Comme l’indique Amos Harel de « Haaretz », Israël a annonçait que la « ligne rouge » a été dépassée. Depuis Août de l’année dernière, il y a eu à la frontière nord, 11 attentats après les opérations militaires dans la bande de Gaza. Les incidents dans le nord ont fortement augmenté.
Avi Issacharoff (Wallanews) estime que les dirigeants de l’organisation terroriste chiite se sont embourbés dans des combats avec les islamistes sunnites en Syrie, et ne veulent pas un conflit militaire contre Israël, mais nous sommes confiants que, après « Rocher Puissant » Israël pourrait faire face à une nouvelle guerre.
Les commentateurs israéliens ont conclu que « le Hezbollah », ne veut plus garder le silence « à tout prix » et va démontrer son opposition active contre Israël. Il y a huit ans, une telle tactique du « Hezbollah » avait déjà donné lieu à une grande guerre. Il n’y a aucune garantie que la nouvelle escalade à la frontière nord ne se terminera pas de la même façon.