Le Grand Rabbin séfarade David Yossef (mouvement ultra-orthodoxe du parti Shas) a condamné les actions du mouvement réformiste « les Femmes du Mur » qui a commencé à être toléré en Israël depuis que le Premier Ministre a décidé avec M. Bennet, de placer au Kottel, un endroit pour ces réformistes qui pourront prier dans un public mixte avec une femme pour rabbin.
Tout comme le Rav Mazuz, le Rav David a déclaré que le mouvement des réformistes « n’est pas juif » et que ses membres sont » littéralement idolâtres » au cours de son cours hebdomadaire dans une synagogue, selon le site Arutz Sheva.
Rav Yossef, est le fils du vénéré défunt Hagaone rav Ovadia Yossef, un membre du Conseil des anciens du parti Shas. Ses remarques sont intervenues alors que le mouvement de réforme semble être gagnant et de plus en plus légitimé en Israël.
Ce sont ses déclarations: «La réforme est laïque et profane, ce qui est interdit dans la Torah, ils n’ont jamais enseigné et n’ont jamais appris, nous devons donc prier pour leur repentir ».
Ajoutant : « Le mouvement réformisme est une collaboration avec l’idolâtrie, donc les réformateurs sont idolâtres. Simplement et littéralement. Je ne sais pas pourquoi nous ignorons cela aujourd’hui », a poursuivi le Rav Yossef.
«Les réformistes sont les plus grands combattants contre le sionisme (et pro-palestiniens). Ils ne croient pas en la venue du Messie. Depuis des générations, ils ont effacé toute mention de Sion et de Jérusalem dans leurs livres de prières. Pendant des années, ils ont prêché l’assimilation, pour être comme les autres nations, ils ont construit leurs synagogues pour ressembler à des églises. Ils ont inventé qu’on peut être un Juif à la maison et être une personne normale en public. »
Rav Yossef a ajouté que les Juifs réformistes veulent intégrer leurs prières « impures » au Mur occidental.
« Cela ne va pas arriver ! Nous ne nous reposerons pas et nous nous battrons contre, et vous verrez qu’avec l’aide de Dieu, nous allons gagner ; ils n’iront pas au Kottel! Le Kottel est un lieu sacré, qui est le nôtre », a-t-il conclu.