La situation à la frontière nord devient à nouveau explosive. Israël ne veut pas quitter le territoire libanais après le 26 janvier, le Hezbollah menace d’une nouvelle escalade si cela n’est pas fait.

De hauts responsables de Tsahal expriment leur mécontentement face aux actions de l’armée libanaise. Dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu, l’armée libanaise s’est engagée à maintenir le Hezbollah à l’écart de la frontière, à confisquer les armes et à créer une zone démilitarisée. Cependant, le Hezbollah continue de maintenir une présence significative dans la région et de reconstruire ses capacités.

Le commandement israélien qualifie l’armée libanaise d’« inefficace », mais le nouveau gouvernement libanais et le Hezbollah sont unis dans cette affaire : Israël doit dépasser la ligne de démarcation.

Le gouvernement de Jérusalem n’a pas encore pris de décision : Netanyahu a demandé à Trump l’autorisation de rester après le 26 janvier, mais l’autorisation de Trump n’a aucun effet sur la reprise des attaques contre le Hezbollah. Cependant, Tsahal a préparé des plans opérationnels en cas de nouveau cycle de guerre, ce qui signifierait de nouveaux bombardements sur le territoire israélien.

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« Il y a des développements positifs avec l’armée libanaise et les forces de l’ONU qui remplacent les forces du Hezbollah, mais cela ne se produit pas assez vite », a déclaré aux journalistes le porte-parole du gouvernement israélien, David Menser . Il n’a pas répondu aux questions sur le maintien d’Israël au Liban après le 26 janvier.

Le Hezbollah a déclaré avoir entendu dire que l’accord ne serait pas respecté et l’a qualifié d’« inacceptable ».