Le cas du viol collectif d’une jeune fille de 13 ans à Netivot progresse très lentement et la police dispose de nombreuses données contradictoires.
Rappelons-nous qu’à la mi-septembre, les parents de la fille ont porté plainte auprès de la police, affirmant que pendant un certain temps, leur fille avait été soumise à la violence à l’école par des lycéens. 4 adolescents ont été arrêtés puis relâchés en résidence surveillée.
Mercredi, la police a déclaré qu’elle avait pu obtenir de l’ADN sur le lieu du crime dans un abri anti-aérien et qu’elle ferait l’objet d’une enquête pour connaitre si elle appartenait aux suspects.
Il y a une semaine, un enquêteur pour enfants a cessé de parler à la fille à cause de son état mental sévère. La travailleuse sociale qui accompagnait la victime présumée lors des interrogatoires affirme que son témoignage était tout à fait fiable.
Le principal suspect dans cette affaire est un élève de 16 ans qui affirme ne pas connaître la victime avant de porter plainte et qu’il n’était pas présent sur les lieux du crime.
La police n’a pas encore fait de commentaires, mais les médias ont déjà divulgué des données selon lesquelles la fillette aurait déjà été violée par deux garçons plus âgés à l’âge de 11 ans. L’affaire a été classée faute de preuves.