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Après les condamnations outrancières : l’ONU fait le premier pas en faveur d’Israël

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Le Conseil de sécurité se réunira jeudi pour la première fois depuis le massacre du 7 octobre, pour une discussion spéciale qui portera uniquement sur la question de la situation des otages détenus par le Hamas à Gaza et sur la promotion des moyens de les libérer. Cela fait suite aux efforts prolongés de l’ambassadeur Arden et à un travail conjoint avec la délégation américaine auprès de l’ONU, qui a lancé le débat en tant que membre du Conseil de sécurité.
À l’initiative de la délégation israélienne auprès de l’ONU, le Dr Shoshan Haran, qui a été enlevée à son domicile du kibboutz Beri et libérée, et Ayelet Samarno, la mère de  Yonatan Samarno, dont le corps a été enlevé par des agents de l’UNRWA à Gaza, ont été invités à la discussion.
Le document de préparation au débat au nom des États-Unis (préparé en coopération et coordination avec Israël) impute la responsabilité de leur situation à l’organisation terroriste Hamas et déclare que « la détention des personnes enlevées est illégale et porte atteinte à la paix et à la sécurité mondiales » et que les conséquences sur la santé physique et mentale des personnes enlevées et de leurs familles sont « catastrophiques et inhumaines ».

La discussion portera, entre autres, sur les actions que les agences de l’ONU et le Conseil de sécurité peuvent entreprendre pour accélérer la libération des personnes enlevées et sur la manière dont la pression peut être exercée sur le Hamas à cette fin ; La discussion portera également sur les ressources dont disposent l’ONU et d’autres organisations internationales pour soutenir les survivants du massacre et les personnes enlevées libérées, d’un point de vue sanitaire et économique.

En outre, le Conseil de sécurité examinera la question de savoir comment il peut créer un effet de dissuasion contre un futur incident d’enlèvement de civils en temps de guerre et comment exiger des comptes des organisations terroristes pour de tels actes.

L’ambassadeur d’Israël auprès de l’ONU, Gilad Erdan : « Suite à un effort diplomatique incessant, nous avons convoqué pour la première fois la réunion du Conseil de sécurité pour discuter uniquement de la situation de nos personnes enlevées et promouvoir des moyens de faire pression pour les libérer. Je remercie les États-Unis d’avoir accepté d’exiger la tenue du débat. Le conseil sera finalement obligé de regarder en face l’enlèvement de Shoshan Haran et de la mère de Yonatan Samarno et de se rendre compte qu’Israël ne s’arrêtera pas tant que les personnes enlevées ne seront pas libérées et que la pression sur la monstrueuse organisation terroriste du Hamas ne baissera pas.