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Israël est préoccupé par le sort des armes chimiques et la difficulté de prédire la situation en Syrie. Comme en 73, la disparition des experts russes de l’Etat implique la gravité de la situation.

En dépit des rumeurs persistantes qui circulent depuis hier (jeudi), concernant le président de la Syrie , Bashar al – Assad, sur le fait s’il a quitté ou pas Damas. Un jour après que les insurgés ont frappé au cœur du centre hautement gardé de Bachae el Assad,[intlink id= »9870″ type= »post »] une explosion a tué la moitié de la direction de la défense[/intlink] .

Assad s’est hâté de nommer des nouveaux fonctionnaires. Mais quand les combats deviennent progressivement plus graves à Damas ,  Assad doit sentir le danger venir vers lui et sa famille, et après les événements de la semaine dernière, les doutes font places . Raison pour laquelle,  sa femme et ses associés, se sont déplacés vers le  palais de Lattaquié ou soit ont demandé l’asile dans un autre pays.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Ce week-end en Syrie devrait être particulièrement chargé, même pour le début du Ramadan et aussi en raison de la situation dans laquelle l’opinion publique est dans une tension considérable. Des guerillas féroces  ces derniers jours ont apparemment fait fuir les  foules dans les rues de certaines grandes villes.

Le New York Times a rapporté hier que les hauts responsables du Pentagone et les fonctionnaires de la défense israélienne ont discuté récemment dans une prise de contrôle conjointe pour détruire de stocks d’armes chimiques et biologiques soue le contrôle de Assad, qu’il pourrait utiliser lorsque son régime s’est effondré. Selon certains rapports, les Américains ont discuté avec les Jordaniens. Le roi de Jordanie Abdullah a également déclaré que cette semaine est nécessaire,pour franchir la frontière (à-dire en Syrie) afin d’éviter la fuite des armes chimiques dans des mains des irresponsables.

Pour Israël, il semble difficile de savoir ce qui est le plus alarmant: les attaques des insurgés sunnites radicaux sur l’une des bases d’armes chimiques, ou le transfert volontaire des arsenaux chimiques du Hezbollah par le didacteur Assad ?. Récemment, une  organisation chiite a intervenu  dans le pays voisin et on constate des réactions hystérique du peuple et du dirigeant du Hezbollah Hassan Nasrallah à Damas après l’attentat, qui montre que même les alliés au Liban sont préoccupés par l’avenir du régime de Bachar al – Assad.

Source : Haaretz