Les représentants du gouvernement ont ouvertement exprimé leurs craintes concernant le président américain, Barack Obama, craignant qu’il va provoquer un coup diplomatique une seconde fois avant la fin de son mandat le 20 Janvier (dans trois semaines et demi).
L’une des options discutées lors de la réunion du Cabinet est qu’un jour avant que le président élu Donald Trump prend ses fonctions en tant que président, Obama a promu dans les paramètres du Conseil de sécurité des Nations Unies la reprise des négociations et la résolution du conflit israélo-palestinien. Une autre option serait qu’Israël souffre d’un coup diplomatique à la Conférence internationale de paix à Paris, le 15 Janvier.
Les responsables israéliens ont dit qu’il y a un véritable champ de bataille entre Obama et le Premier ministre Binyamin Netanyahu.
L’adoption d’une nouvelle résolution serait très difficile à inverser même si Trump le voulait, car cela nécessiterait une nouvelle majorité au sein du Conseil de sécurité.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Le parti d’opposition Yesh Atid a exhorté le Comité des affaires étrangères et de la Défense à la Knesset (Parlement) de citer le premier ministre et ministre des Affaires étrangères, M. Netanyahu, pour exiger une explication pour la détérioration des relations avec les pays extérieurs.
Le premier ministre a rejeté l’action durement et a commencé à mettre en œuvre des représailles diplomatiques.
Quatorze représentants des pays ont voté pour la résolution. Les ambassadeurs de l’Espagne, et l’ambassadeur des États-Unis ont été convoqué le jour de Noël pour donner des explications sur leur vote.
« Nous avons envoyé un message général exprimant notre déception et expliquant que ce vote ne sert pas la paix. Au contraire,c’ est une résolution anti-israélienne qui veux imposer des négociations avec les Palestiniens. C’est inutile et c’est un acte d’agression contre Israël. Pour nous, c’est une grosse déception, surtout dans le cas de l’Espagne, qui est un pays ami » selon le porte-parole israélien des Affaires étrangères, Emmanuel Nahshon.
«Les visites des responsables israéliens et les politiciens en Espagne ont été suspendus » at-il ajouté.
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