L’ancien ambassadeur américain en Israël Dan Kurtzer a la grande habilité de retourner la situation contre Israël, au lieu de s’indigner par la nouvelle résolution de l’ONU qui annonce que les sites saints du Judaïsme sont d’origine palestiniennes….un fait négationniste sans précédent…lié à la haine des Juifs.
Hier, il a publiquement réprimandé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, pour ce qu’il a appelé une réponse «inacceptable» suite à la résolution du Conseil de sécurité de l’ONU 2334 (2016) adoptée ce vendredi dernier avec l’aide des États-Unis.
La résolution a sévèrement condamné l’Etat d’Israël et les États-Unis n’ont rien fait pour l’arrêter. Netanyahou avait carrément accusé le président Obama d’avoir manigancé cette décision en dépit qu’elle soit retirée par son auteur d’origine : l’Egypte
L’allégation outragée de Kurtzer a été dite lors d’un interview à la radio israélienne en disant que la langue « méchante » de Netanyahou était « inacceptable ».
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Envoyé en Israël sous l’ancien président George W. Bush, Kurtzer a été cité par l’agence de presse DPA allemand comme disant: « La langue utilisée contre le président des États-Unis est elle-même sans précédent, et ne devrait vraiment pas être un langage d’un allié contre un allié, suite à la colère ».
Dans le passé, les Etats-Unis ont fourni la protection diplomatique pour Israël en utilisant leur pouvoir de veto en tant que membre permanent du Conseil pour stopper la pléthore de résolutions anti-israéliennes qui se décide chaque année dans le forum international largement biaisé.
Mais vendredi, le président Barack Obama est accusé d’avoir personnellement ordonné son envoyé à l’organisme de s’abstenir de voter sur la résolution qui condamne le développement d’Israël dans les zones post-1967 – y compris des domaines tels que la Vieille Ville de Jérusalem, et la plupart des sites sacrés du judaïsme, le Mont du Temple et le mur occidental.
La résolution, qui avait d’abord été proposée par l’Égypte a été retirée, puis reprise par le Sénégal, la Nouvelle-Zélande, le Venezuela et la Malaisie.
En réponse, M. Netanyahou a fustigé dimanche soir, de son cabinet du gouvernement, « Nous ne doutons pas que l’administration Obama se tenait derrière cette résolution et a coordonné pour qu’elle soit adoptée ».
Une initiative de paix française qui a été reportée l’été dernier a été prévue pour le 15 Janvier – cinq jours seulement avant qu’Obama quitte ses fonctions, et peu de temps avant que les citoyens français se rendent aux urnes pour choisir un nouveau leadership.
Il y a des rumeurs comme quoi le secrétaire d’Etat américain devrait faire un discours récemment re-poli sur sa « vision pour une paix au Moyen-Orient » – avec les détails de son projet pour une solution à deux Etats entre Israël et pour l’Autorité-palestinienne .
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