L’administration Trump envisage de faire sortir les Etats-Unis du Conseil des Nations Unies pour les droits de l’homme, car cette organisation a un parti pris contre Israël et nomme souvent des décisions abusives, selon deux sources en contact régulier avec les anciens et actuels responsables américains.
Un ancien fonctionnaire du Département d’Etat a donné les raisons de cette décision, et a déclaré que l’ONU ciblait trop Israël, mais qu’il y avait aussi des questions concernant la liste des membres, et des doutes quant à son utilité globale.
Des pays connus pour leurs violations des droits de l’homme, tels que la Chine et l’Arabie Saoudite, ont réussi à avoir des sièges au sein des 47 membres du Conseil.
« Il y a eu une série de demandes provenant du secrétaire du bureau de l’état, qui suggère qu’il remette en question la valeur des États-Unis appartenant au Conseil des droits de l’homme », selon l’ex-fonctionnaire.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Lors d’une réunion récente avec des fonctionnaires du Département d’Etat, Tillerson a exprimé son scepticisme au sujet du conseil, et un certain nombre d’abus de pouvoirs, y compris la possibilité d’établir des groupes qui sondent les violations présumées des droits de l’homme.
La porte-parole Haley n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaires, ce samedi, tout comme l’agence de presse de la Maison Blanche .
Le Conseil des droits de l’homme a été créé en 2006. Il a remplacé la Commission des droits de l’homme, qui avait fait face à de sévères critiques.
L’administration Bush avait refusé de se joindre au nouveau conseil, se demandant si ce serait bien différent. Mais sous la présidence de Barack Obama, les Etats-Unis ont estimé qu’il était plus utile de faire partie du conseil et d’oessayer de l’influencer de l’intérieur.
Pourtant, les partisans d’Israël ont accusé le Conseil d’être trop concentré sur l’état à majorité juive, en imposant des résolutions critiques, par exemple.
Israël avait une relation difficile avec l’administration Obama, qui a atteint un record l’année dernière après qu’Obama ait décidé de ne pas opposer son veto à une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU critiquant la construction des implantations israéliennes.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a clairement fait savoir qu’il se réjouissait de travailler avec Trump, alors que Haley a également affirmé que son pays allait protéger Israël des critiques à l’Organisation des Nations Unies.
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