Le suspect dans l’assassinat d’une infirmière à Holon est âgé de 77 ans et se nomme Acher Faraj.
Un jour après la tragédie dans la clinique du fonds d’assurance-maladie Clalit, à Holon qui a tué Tova Carero , l’homme est resté en détention dans le tribunal d’instance de Tel-Aviv.
La juge Ronit Poznanski a rejeté la demande de l’avocat de ne pas divulguer le nom du suspect, et les médias ont informé son âge et son identité.
Pour rappel, c’est au sein de la « Clalit » sur la rue Kaplan à Holon où Asher Faraj avait fait un vaccin contre la grippe la semaine dernière, a dit à plusieurs reprises au personnel, qu’il se sentait faible et avait des malaises.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Il s’est rendu tous les jours à la Clalit pour se plaindre de ces symptomes. Le personnel lui a répondu qu’il n’y avait rien d’inhabituel et que ce genre de malaise se produit souvent après la vaccination.
Mais Faraj n’était pas rassuré. Hier, il est allé de nouveau à la Koupat où se trouvait Tova Carero et lui a jeté dans sa direction un cocktail Molotov. En conséquence, l’infirmière, est morte de ses brûlures.
Hier, après l’arrestation de Faraj Asher , l’homme a avoué ce meurtre. Il a admis qu’il avait apporté une bouteille de liquide inflammable dans la clinique, mais soutient qu’il n’a jamais voulu tuer une infirmière, et voulait juste mettre le feu à la salle pour attirer l’attention sur sa «souffrance».
Les amis de Tova Carero ne croient pas dans la version du suspect. Une des infirmières a déclaré dans une interview sur Wallanews, qu’ à son avis, « l’assassinat a été planifié. »
Dans le passé, son médecin de famille a rapporté des problèmes psychologiques, mais n’a jamais fait de rapport concernant un comportement agressif. Il y a six mois, les psychiatres ont même dit qu’il était inoffensif.
Le tribunal a prolongé la détention de Asher Faraj pendant 8 jours, et, selon la police, il sera envoyé à un nouvel examen psychiatrique. Les établissements médicaux ont tenu aujourd’hui une grève de deux heures pour protester contre la violence.
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