Mercredi, la Knesset a adopté une loi éliminant les ONG gauchistes à des postes de services nationaux dont la plupart de ces organisations reçoivent la majorité de leur financement des gouvernements étrangers. La loi, parrainée par le député Amir Ohana (Likoud), a été votée avec une majorité de 40 contre 12.
La nouvelle loi (soutenue par le Premier ministre Netanyahu) cherche à mettre fin au phénomène dans lequel des organismes du gouvernement tels que l’extrême-gauche B’Tselem, utilisent le financement des gouvernements étrangers pour saper la politique israélienne.
La loi a été rédigée à la suite d’un rapport de l’organisation sioniste Im Tirtzu, qui a révélé qu’il y avait douze positions au sein du service national parmi les cinq ONG qui reçoivent la majorité de leur financement des gouvernements étrangers.
Selon le rapport, les organisations qui relèvent de la compétence de la loi comprennent B’Tselem, le Comité public contre la torture en Israël et Gisha qui ont à plusieurs reprises accusé Israël de crimes de guerre dans les instances internationales et fournissent une plate-forme pour la mouvement BDS, et la ligne d’assistance pour les réfugiés et les migrants, qui ont accusé la politique gouvernementale.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :