Avec 400 arabes ou plus en Judée-Samarie et Jérusalem, aujourd’hui, derrière les barreaux au cours de la dernière année, il semble que l’appareil de sécurité d’Israël a trouvé les solutions pour freiner, sinon complètement en finir avec la terreur des couteaux depuis deux ans connue sous le nom « de l’intifada des couteaux », selon Amos Har’el pour Ha’aretz.
Le principal défi auquel sont confrontés les forces de sécurité israéliennes pour faire face à l’actuelle intifada, qui a commencé à l’automne 2015, à la veille de Roch Hachana, est en fait, sa nature sporadique.
Entre le Hamas et le Fatah qui ont tout deux des infrastructures terroristes, Tsahal doit faire face à travers la Judée et la Samarie depuis 2003 à une grande majorité des personnes qui veulent mener des attaques avec des couteaux, en jetant des pierres sur les véhicules, en écrasant des piétons avec leur véhicule, en lançant des cocktails Molotov, et par l’utilisation des armes à feu , des actions qui sont toutes décidées sur le moment et pas toujours une décision planifiée. Comment l’appareil de sécurité peut il gérer ces instants et improvisations de la part des personnes non affiliées à un mouvement terroriste spécifique ?
La réponse est complexe, mais, selon Har’el, la raison la plus efficace suite à la baisse de la vague de terreur vient d’un suivi vigilant des médias sociaux arabes, où les individus improvisent et disent au monde leur projet. La détection précoce des terroristes potentiels, qui sont sur le point de choisir le meilleur couteau de cuisine de maman et d’aller assassiner un Juif, se traduit par des raids de nuit et des arrestations qui se sont considérablement améliorées.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :