Heather Wilson est connue pour ses idées pro-palestinienne et surtout sa justification à la violence contre Israel. C’est le choc pour de nombreuses victimes du terrorisme palestinien depuis que cette femme a été choisie par Donald Trump et nommée à la direction du département de l’armée de l’air du Pentagone, devant le Sénat américain, à Washington D.C, ce 30 mars 2017.

Elle a affirmé dans le passé que les décisions pour la libération nationale pouvaient avoir raison de recourir à la force, une interprétation qui a été utilisée par les anti-israéliens afin de justifier le terrorisme palestinien.

En 1988, elle publie International Law and the Use of Force by National Liberation Movements affirmant que l’action militante est justifiée contre le colonialisme :

« Dans ce monde post-colonial, le déni de l’autodétermination est généralement considéré comme un mal d’une telle amplitude que l’usage de la force pour le garantir peut être justifié… l’usage de la force pour nier le libre exercice du droit à l’autodétermination d’un peuple est contraire aux principes du droit international. »

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Dans aucun écrits académiques, Wilson mentionne le conflit israélo-palestinien mais cela laisse à penser et un document à utiliser par les terroristes afin de justifier leur massacre.

Un exemple ? Le cas de Norman Finkelstein, pro-palestinien et universitaire controversé qui a cité les travaux de Wilson lors de la guerre de Tsouk Etan allant jusqu’à justifier les attaques de roquettes et autres du Hamas tout en citant une note du livre de Wilson pour soutenir cet argument.

« Le droit international interdit à une puissance occupante d’utiliser la force pour supprimer une lutte pour l’autodétermination, avait-il écrit, alors qu’il n’interdit pas à un peuple luttant pour son autodétermination d’utiliser la force. »