Quatre fois par semaine, les lignes métropolitaines ont été fermées sans avertissement et les passagers ont été bloqués.
Les résidents du sud du pays disposent déjà d’une fréquence de bus inférieure à celle dont bénéficient les résidents du centre. À cette situation s’ajoute l’absence de certains conducteurs musulmans qui ne viennent pas travailler en raison du Ramadan.
De nombreux résidents se retrouvent bloqués comme à Dimona et Arad, leurs bus étant arrivés avec une heure et quart de retard, et les préposés ne savent même pas informer les clients qui téléphonent à la centrale…
« Le retard pourrait être d’une heure, peut-être plus » a dit un préposé. « Il n’y a pas de bus » dit le second. Le troisième argumentant : « Il n’y a pas de chauffeur »…
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :