La ville d’Avignon veut-elle se démarquer cette année au Festival d’Avignon avec cette nouvelle piece de Theatre sur » les dernières heures de Mohamed Merah »?
Pour rappel, ce parasite pro-palestinien a tué à bout portant trois enfants juifs dans une école juive de Toulouse et un professeur d’école qui était aussi le père de deux des trois jeunes enfants de moins de 6 ans, justifiant cet acte pour « sauver les pauvres palestiniens sous l’occupation israélienne » . Trois soldats français ont aussi été victimes de cet infâme terroriste.
Le metteur en scène de cette pièce de théâtre controversée se nomme Yohan Manca , où il a voulu s’inspirer « des dernières heures de la vie du terroriste Mohamed Merah ».
La mère de deux des trois enfants tués par Mohamed Merah (imarchemam)
Sommes nous face à un pari osé ? Un pari réussi ? Un moyen de sensibiliser et justifier les actions de Merah en apprenant à le connaitre ?
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Un manque total de respect vis à vis des victimes tuées et leur familles juste pour se faire connaitre au sein de la scène artistique ?
Ou comme d’habitude en France, pour ne parler que des terroristes , oubliant à nouveau les victimes ? : Une pièce de théâtre sur le ressenti d’une mère qui perd ses enfants et son mari le même jour devant ses yeux aurait été peut être, un peu moins controversée ?
Le jeune Yohan Manca présente et joue « Moi, la mort je l’aime comme vous aimez la vie ». Le texte a été écrit par Mohamed Kacimi.
Les funérailles des victimes à Ozar Hathora avant l’envoi des corps en Israël
Quelques rappels des minutes avant la liquidation de ce terroriste entre le 21 et le 22 mars 2012 :
Le raid a duré trente-deux heures, la police essaie de convaincre Mohamed Merah, terré chez lui, de se rendre, puis l’assaut est donné et Mohamed Merah meurt.
Selon Francetvinfo.fr, pour Manca, interpréter un tel personnage dans le contexte actuel n’est pas facile. (on le comprend!)
Yohan Manca : « On est conscient que tout ça est bouillant et que c’est clivant. Évidemment, il y a des gens qui n’ont pas envie de voir ça, qui n’ont pas envie d’entendre ça, qui n’ont pas envie de se replonger dans ces affaires-là ».
Il estime pourtant que c’est un travail nécessaire : « Il est intéressant d’aller chercher chez les salauds…C’est très douloureux de porter ses mots (…) c’est la même douleur quand on le travaille et puis après on se lance parce que le message est plus important »
Sur scène, il y a une cloison : d’un côté, Mohamed Merah, de l’autre, le policier :
« J’ai pris mon scooter, je suis rentré chez moi et j’ai commandé une pizza aux quatre fromages », lance le « Merah joué » par Manca après la fusillade devant l’école primaire.
Le policier : « Mais tu pensais à quoi quand tu tirais à bout portant sur la gamine de trois ans ? », de l’autre côté de la cloison.
Manca (Merah) : « Je pensais à Youtube », répond le jeune homme.
Selon le metteur en scène, Mohamed Merah était « un fanatique des armes à feu plus que du Coran ». (la raison islamiste est exclue )
« Un jeune terroriste élevé dans un antisémitisme prégnant. C’est ancré en lui, il a l’impression que c’est normal. C’est ce qui est terrible et terrifiant. »( Son éducation l’a obligé à agir ainsi, il n’est donc plus réellement responsable ? )
Yohan Manca a ressenti ce besoin de comprendre à cause de plusieurs points communs entre lui et Mohamed Merah :
« Quand il fait ces actes, il a 22 ou 23 ans. J’avais à peu près le même âge que lui, on est de la même génération », explique-t-il. (le critère de l’âge est très général, un peu trop…)
Les deux hommes ont joué aux mêmes jeux vidéos (le critère de l’utilisation de jeux vidéos, est aussi très général, un peu trop…) et Manca a grandi en Seine-Saint-Denis ( tous les jeunes de cette banlieue sont donc des futurs Merah ? )
Il ajoute : « Nous sommes du même département où il y a le plus de départs pour la Syrie », selon le comédien. (encore un autre moyen de justifier ces terroristes : » les jeunes des banlieues et leur crise identitaire et sociale » …)
Yohan Manca :
« Évidemment que ça me frappe. C’est la jeunesse qui est frappée par ce fléau. C’est ma jeunesse, c’est ma génération. »
Dommage de ne jamais nommer ce fléau…par l’antisémitisme islamiste…
Quand la prochaine pièce de théâtre pour sensibiliser le public à l’enfer et la vie détruite de ces victimes et leur famille ?
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