Combien de familles juives dans leur maison ont payé le prix de la vie en étant égorgés comme des moutons par des palestiniens « motivés pour défendre Al Aqsa » ? Nous ne comptons pas toutes ces familles tuées, comme celle de Itamar, Halamish, et ces attaques au couteau pour les mêmes raisons sur des dizaines de Juifs et soldats de Tsahal…
Défendre Al Aqsa qui n’est autre que le site le plus saint du Judaïsme car cette mosquée a été construite sur les ruines des deux Temple Juifs, est devenue la cause nationale palestinienne pour tuer des juifs de tout âge.
Boire de l’alcool, est interdit chez les musulmans, et même si les Juifs séculaires mangent du porc, ils n’iront pas tuer des familles palestiniennes en les égorgeant chez eux car ils marchent sur l’endroit le plus saint du Judaïsme ou disent à leur enfants de jouer au football au même emplacement ou le Cohen priait chaque Yom Kippour pour le peuple Juif au temps du Beth Hamikdash.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Les musulmans se servent souvent de leur religion pour justifier des assassinats, comme le cas des dessins de Mahomet en France ou toute l’équipe de Charly Hebdo a été tuée et les juifs en ont fait les frais, avec la tuerie dans un magasin casher.
Mais ce que peu de gens savent est que les musulmans ne sont pas si pratiquants, comme ce dernier exemple, à Bethléem, cette ville sous l’Autorité Palestinienne ou des centaines de palestiniens (et pas seulement des chrétiens mais beaucoup de musulmans) se sont rendus dans cette brasserie à ciel ouvert dans ce camps de « réfugiés » pour s’alcooliser et danser. Ce qui est interdit chez Mahomet…
Entre samedi et dimanche, quelque 7 000 à 8 000 Palestiniens ont montré leur amour pour la bière en parcourant le bord d’un petit village situé à l’extrême est de Bethléem, appelé Beit Sahour pour le deuxième Festival annuel de la bière des bergers.
Des milliers de jeunes essentiellement palestiniens qui ont payé NIS 30 (8 $) pour entrer dans le lieu, se sont tenus debout, ont chanté avec de la musique et ont hissé leurs tasses à bière en l’air sur demande.
Le premier à prendre la scène était le groupe Hawa Dafi, qui a grimpé la foule avec une fusion funky d’arabe, de rock et de jazz, mettant en vedette des saxophones et des oud solos. Avec une part égale de musiciens féminins et masculins.
À côté de prendre la scène, le rappeur israélo-arabe Tamer Nafar, membre de la bande Dam. La foule enthousiaste a chanté avec les paroles de Nafar’s quickfire.
Personne ne devrait être jugé pour boire de la bière et danser, mais quand sont tués des Juifs au nom du Coran et de Al Aqsa, il est moins facile de rester sans réaction…
Nous utilisons des cookies sur notre site Web pour vous offrir l'expérience la plus pertinente en mémorisant vos préférences et vos visites répétées. En cliquant sur « Accepter », vous consentez à l'utilisation de TOUS les cookies.
Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience lorsque vous naviguez sur le site Web. Parmi ces cookies, les cookies classés comme nécessaires sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour le fonctionnement des fonctionnalités de base du site Web. Nous utilisons également des cookies tiers qui nous aident à analyser et à comprendre comment vous utilisez ce site Web. Ces cookies ne seront stockés dans votre navigateur qu'avec votre consentement. Vous avez également la possibilité de désactiver ces cookies. Mais la désactivation de certains de ces cookies peut avoir un effet sur votre expérience de navigation.
Les cookies nécessaires sont absolument essentiels au bon fonctionnement du site Web. Cette catégorie comprend uniquement les cookies qui garantissent les fonctionnalités de base et les fonctions de sécurité du site Web. Ces cookies ne stockent aucune information personnelle.