A force de trop parler, on en dit trop ou pas assez, c’est ce que représente aujourd’hui, Melanchon et son parti, candidat aux présidentielles de 2017 qui ne peut faire face à cette réalité allant jusqu’à comparer des élus aux Nazis et en effaçant d’un coups de main les armées alliées qui ont aidé la France à se relever du nazisme en Europe.
Jean-Luc Mélenchon a répliqué ce samedi à Emmanuel Macron pour qui «la démocratie, ce n’est pas la rue» par une phrase choc dans son allocution à la tribune. «C’est la rue qui a abattu les rois, les nazis, le plan Juppé et le CPE…» a-t-il martelé lors de son discours place de la Bastille, dans le cadre de la manifestation contre les ordonnances.
«Monsieur le président, il vous reste à consulter l’Histoire de France pour apprendre que c’est la rue qui a abattu les rois, c’est la rue qui a abattu les nazis, c’est la rue qui a protégé la République contre les généraux félons en 1962 (en réalité en 1961 ndlr) (…) c’est la rue qui a obtenu la quatrième semaine de congés payés en 1968 (…) c’est la rue qui a abattu le plan Juppé (…) c’est la rue en 2006 qui a obtenu le retrait du CPE (…) c’est la rue toujours qui porte les aspirations du peuple français lorsqu’il ne peut les faire entendre autrement», a-t-il longuement énuméré.
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