Mr Alain Z*, habite en France. Il nous a contacté (infos-israel.news) et fait écouter un enregistrement avec sa banque LCL, nous avons tenu à en faire part à nos lecteurs.
Mr Alain Z décide de devenir propriétaire d’un appartement en Israël. Il décide donc de vendre son bien immobilier en France et trois mois plus tard trouve un bien de son choix en Israël.
Pour rappel, en Israël, lors de la vente d’un appartement, il n y a pas de pré-contrat, et la vente se fait en une seule étape contrairement en France qui passe d’abord par une promesse de vente .
Apres avoir choisi un bien en Israël, Mr Alain Z contacte sa banque LCL, pour transférer les fonds vers Israël, mais il ne s’attend pas à ce qui va lui arriver ….
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Ce Juif de France va devoir passer par de nombreuses épreuves et en finalité ne pourra pas arriver à transférer cet argent vers le vendeur israélien, ou l’agence de bien immobilier.
La banque LCL va d’abord lui reprocher que l’acte d’achat (et non la promesse de vente) était en hébreu et réclame que le formulaire soit en anglais, mais celui fait plus de 60 pages, une demande qui semble hors contexte.
Alain Z. lui explique une nouvelle fois que le système de vente dans ce pays se passe de promesse de vente et que ce délai d’attente depuis déjà 15 jours risque de lui faire perdre cette opportunité d’achat. Le futur acheteur se retrouve les mains liés sans pouvoir disposer de son argent.
Seconde étape, LCL lui demande le RIB de son ancienne banque Populaire, une banque dont Mr Alain Z n’est plus lié et dont la majorité de son argent se trouve dans la banque LCL. L’employé de la banque LCL se justifie en disant que le fait que la somme est viré à l’étranger et dans ce cas en Israël, il faut prendre en compte une « sécurité » selon « certains pôles de conformité »… et de nouveaux justificatifs… sont attendus, mais lesquels ?
Pourtant, l’avocat qui s’occupe de cet achat parle en anglais, et pourrait être un moyen de rassurer la LCL…propose Mr Z. mais ce n’est toujours pas suffisant.
Pour eux le justificatif de vente de Mr Alain Z n’est pas valide, LCL demande un « acte d’achat » ! Compliqué, vu que Mr Alain Z ne peut rien acheter sans son argent bloqué par la LCL. La situation est de moins en moins claire et de plus en plus embarrassante.
LCL ne veut pas comprendre qu’en Israël il n y a qu’une seule signature lors d’un achat immobilier, et pourtant Mr Alain Z qui a un projet dit que dans le passé il n’a pas eu de projet et que les transferts ont été effectués sans problèmes, alors pourquoi cette fois-ci ce transfert est refusé, est ce la destination d’Israël qui dérange la banque ou le lieu précis du bien immobilier ?
Depuis le 19 septembre, Mr Alain Z est bloqué à cause de la LCL et ne peut disposer de son argent pour un achat en Israël, un simple transfert de fond est impossible…
Il semble aujourd’hui, que le titulaire d’un compte bancaire LCL sans projet d’achat devra se résilier face à un transfert d’argent vers Israel.
Les clients français de LCL sont prévenus.
*Le nom de la personne a été modifié
8 Commentaires
Pour éviter ces problèmes, il faut que l’acheteur fasse un transfert de sa banque en France vers sa banque en Israël directement et acheter une fois son argent sur son compte en Israël. Acheter d’abord un bien sans avoir son propre argent dans le pays où on l’achète n’est pas très responsable. ‘D’autant que la France pourrait dans l’avenir bloquer les comptes des juifs pour qu’ils partent les mains dans les poches.
Ce n est pas aussi simple , avec ma banque bnp , le transfer a dure un » certain temps . Je pense pour enquete …car il s agit d Israel .et Israel pour les francais , cela a une signification toute particuliere !
Remy Bohbot
Jeanne Claire Adida
Bizare
Crapules
Il ne faut pas voir de l’antisémitisme là où il n’y en a pas, il y en a déjà assez ailleurs pour s’en inventer d’autres.
Pour des raisons de lutte contre le blanchiment et l’évasion fiscale, les banques n’acceptent pas les transferts d’argents internationaux entre particuliers, ni d’un particulier à une société. Elles encourent des risques énormes (amendes, perte de licence) si elles se font prendre, et elles n’ont pas de temps à perdre à analyser les contrats, vérifier l’identité des receveurs, etc. Cela est valable pour la France vis à vis de tout autre pays dans le monde, et vice versa.
En revanche, il n’y a aucun problème pour transférer de l’argent entre 2 comptes dans des pays différents appartenant au même titulaire (même nom strictement).
Donc, dans le cas présent, il faut ouvrir en Israël un compte en Euros avec le même nom que celui du compte français qui va émettre le virement, et faire ensuite le virement : ça marchera à 100% et en 24/48 heures. D’autant que l’argent qui va être transféré est traçable (propre) car provenant de la vente d’un appartement en France.
Au demeurant, la plupart des banques israéliennes refusent désormais de recevoir sur le compte d’un particulier (israélien ou pas) de l’argent provenant d’un compte situé à l’étranger dont le titulaire ne porte pas le même nom. Certaines banques israéliennes vont jusqu’à demander la preuve que le compte israélien d’un non résident en Israël a bien été déclaré par son titulaire au fisc de son lieu de résidence. Ce type de contrôle va devenir de plus en plus exigeant, les banques israéliennes tenant à conserver leur licences pour travailler à l’étranger.
Pour mémoire, en France détenir un compte à l’étranger est légal du moment que son existence est dévoilée au fisc lors de la déclaration de revenus.
[…] banque HSBC et la Société Générale ont demandé au FN de fermer ses comptes, ce qui a été fortement dénonce par sa présidente, […]
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Ce n est pas aussi simple , avec ma banque bnp , le transfer a dure un » certain temps . Je pense pour enquete …car il s agit d Israel .et Israel pour les francais , cela a une signification toute particuliere !
Remy Bohbot
Jeanne Claire Adida
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Il ne faut pas voir de l’antisémitisme là où il n’y en a pas, il y en a déjà assez ailleurs pour s’en inventer d’autres.
Pour des raisons de lutte contre le blanchiment et l’évasion fiscale, les banques n’acceptent pas les transferts d’argents internationaux entre particuliers, ni d’un particulier à une société. Elles encourent des risques énormes (amendes, perte de licence) si elles se font prendre, et elles n’ont pas de temps à perdre à analyser les contrats, vérifier l’identité des receveurs, etc. Cela est valable pour la France vis à vis de tout autre pays dans le monde, et vice versa.
En revanche, il n’y a aucun problème pour transférer de l’argent entre 2 comptes dans des pays différents appartenant au même titulaire (même nom strictement).
Donc, dans le cas présent, il faut ouvrir en Israël un compte en Euros avec le même nom que celui du compte français qui va émettre le virement, et faire ensuite le virement : ça marchera à 100% et en 24/48 heures. D’autant que l’argent qui va être transféré est traçable (propre) car provenant de la vente d’un appartement en France.
Au demeurant, la plupart des banques israéliennes refusent désormais de recevoir sur le compte d’un particulier (israélien ou pas) de l’argent provenant d’un compte situé à l’étranger dont le titulaire ne porte pas le même nom. Certaines banques israéliennes vont jusqu’à demander la preuve que le compte israélien d’un non résident en Israël a bien été déclaré par son titulaire au fisc de son lieu de résidence. Ce type de contrôle va devenir de plus en plus exigeant, les banques israéliennes tenant à conserver leur licences pour travailler à l’étranger.
Pour mémoire, en France détenir un compte à l’étranger est légal du moment que son existence est dévoilée au fisc lors de la déclaration de revenus.
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