Le cancer du pancréas est l’une des causes les plus fréquentes de décès chez les hommes en Israël. Alors que la plupart des patients meurent moins d’un an après le diagnostic, 7% survivent cinq ans ou plus.
Jusqu’à présent, on ne voyait pas clairement ce qui distingue la minorité survivante et, par conséquent, aucun traitement approprié n’a été trouvé. Dans une étude publiée hier dans la revue « Nature Communications » les chercheurs de Tel Aviv affirment qu’ils ont réussi à percer le mystère et découvrir les premières et importantes différences génétiques entre les cellules du cancer du pancréas des deux types de patients et ont élaboré à partir de là un traitement qui retarde le développement de la tumeur.
Le but de l’étude :
Les chercheurs ont prélevé des échantillons des cellules tumorales du cancer du pancréas au premier stade et ont étudié l’expression des gènes et micro. Dans la plupart des cas, les résultats correspondent à un cancer violent : l’absence d’un type particulier de molécules d’ARN, connues pour inhiber des gènes qui favorisent le cancer (MicroRNA- 34a), et d’autre part, un haut niveau d’un autre type a été trouvé, ce qui stimule l’activité des tumeurs cancéreuses (Oncogen Plk1).
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