Rejoignez nous en live !

Deux officiers de la police spéciale anti-terroriste (Yamam) ont été blessés grièvement il y a une semaine mercredi lors d’une fusillade avec les meurtriers du rabbin Raziel Shevach à Jénine. L’opération faisait partie d’un effort continu pour retrouver les terroristes en fuite.

Mercredi après-midi, Carmela Menashe, correspondante militaire vétéran de la radio israélienne, a tweeté un résumé de l’opération à Djénine :

‘Les officiers de Yamam ont identifié l’un des terroristes recherchés mais ont évité d’ouvrir le feu, et le terroriste a alors sorti une arme et a blessé les deux officiers.’

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

https://infos-israel.news/soutenez-infos-israel-news/

Dans un autre tweet, Menashe a rapporté :

«Les policiers ont identifié le terroriste mais n’ont pas immédiatement tiré dessus parce qu’ils ne sentaient pas de menace pour leur vie.» Un responsable de la sécurité a déclaré : « Nous ne tirons pas sans raison et immédiatement, c’est notre professionnalisme. »

Est ce vraiment une bonne chose que le critère de « professionnalisme » soit si important, quand deux combattants israéliens ont été gravement blessés et dont les blessures sont parfois irrécupérables ?

En août 2015, l’establishment de la défense israélienne avait publié de nouvelles règles d’engagement obligeant les soldats à maîtriser les tirs dans des situations où il n’y a pas de menace absolue pour leur vie depuis la cas du soldat Elor Azria.

Dans le passé, les soldats pouvaient tirer quelques coups de semonce en l’air avant de tirer sur le terroriste présumé.                                                      La nouvelle politique de l’establishment de la défense vise à éviter les situations dans lesquelles Tsahal tue un terroriste, oubliant leur sécurité au nom de la bonne image et du professionnalisme… en résumé nos forces de police et de l’armée sont de la chair à canon.