Un homme avait besoin d’une greffe de rein d’urgence. Il avait deux fils qui voulaient tous les deux faire la mitsva d’aider leur père.
Le fils aîné a affirmé que puisque son plus jeune frère était également obligé de l’honorer (appris du fait que la Torah parle de la mitsva d’honorer les parents – Paracha Yisro 20:11), il devrait acquiescer à ses souhaits et il devrait le laisser faire la mitsva.
Le plus jeune frère a prétendu qu’il n’était pas prêt à renoncer à la mitsva parce que lorsqu’il s’agit de mitsvoth, il n’est pas tenu d’honorer son frère aîné.
Quand il s’agit du bien-être physique d’une personne, son propre corps a la priorité et donc, s’il est coincé dans un désert avec quelqu’un d’autre et qu’il n’a que suffisamment d’eau pour lui-même, sa vie passe avant tout. Si cela est vrai pour son corps, à plus forte raison pour sa propre spiritualité – sa vie vient en premier (Shaeshi Techouva).
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :