Des sources palestiniennes ont indiqué qu’un couvre-feu a été imposé ce soir par les forces de sécurité israéliennes au village Bruqin près de Jénine, dans le cadre de la recherche du terroriste Ahmed Nasser Jarrar, celui qui a commandé et dirigé l’attaque qui a conduit à l’assassinat du Rav Raziel. Des émeutes ont suivi autour du village et Tsahal encercle la maison où Jarar est soupçonné se cacher.
Il y a eu des affrontements entre les forces et les Palestiniens et des bruits d’explosion ont été entendues. Des forces d’ingénierie lourdes ont également été vues à l’entrée du village, et les forces de Tsahal ont été aidées par des chiens lors des perquisitions.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Ce matin, les forces de Tsahal ont encerclé une maison dans la zone de Wad Brokin, où il est supposé que Jarar se cache et il a été appelé à se rendre. En plus du siège de la maison, les forces ont fermé l’entrée et la sortie de deux villages voisins.
Selon des sources palestiniennes, quatre d’entre eux ont été arrêtés lors d’un raid à Wadi Brukin, deux d’entre eux appartenant à la famille Jarar. Les forces Kfir sont parties et se sont déplacées vers le village voisin, où elles ont également assiégées une maison, mais se sont retirées après avoir interrogé les membres de la maison.
Au cours des deux dernières semaines, il y a eu de nombreuses activités, à la fois ouvertes et secrètes, pour localiser le terroriste, qui comprenaient des perquisitions dans des maisons palestiniennes et des retards dans l’interrogatoire de personnes dans son voisinage.
Le rabbin Shevach a été tué dans l’attaque il y a trois semaines. Après l’assassinat, les forces de Tsahal ont mis plus d’une demi-journée à Jénine pour trouver le terroriste Jarrar. Ce jour-là, il est devenu clair que l’une des victimes n’était pas le fils de Nasser Jarrar, un haut responsable du Hamas au cours de la deuxième Intifada, mais un autre homme nommé Ahmed Ismail Jarrar.
A la fin des recherches entre les démolitions de maisons à Jénine, les Palestiniens ont annoncé qu’aucun corps n’avait été trouvé là-bas. Par conséquent, l’évaluation a été renforcée que Jarar, qui était le chef de la cellule était encore libre.
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