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Le parti Haredim ont réaffirmé la fermeté de leur position sur la loi de circonscription et suite au projet sur le budget pour 2019. Le journal Haredim « Hamodia » a publié dimanche matin une déclaration du chef du parti politique « Judaïté & Torah », par son porte parole, le vice-ministre de la Santé, Yaakov Litzman. Il a déclaré qu’après la réunion avec le Conseil des sages de la Torah, la direction du parti a décidé de ne pas voter pour le budget jusqu’à ce qu’une loi soit adoptée qui libérerait les membres des yechivot du service militaire.

Ensuite, Litzman a ajouté que l’approbation du budget n’est possible qu’après trois votes sur le projet de loi.

Dans la matinée, dans un entretien accordé à la station de radio 103, le Ministre a déclaré que son parti n’avait pas peur des élections et était prêt à entrer dans un gouvernement de gauche pour satisfaire les besoins de son électorat.

Le présentateur a dit à Litzman que sa menace n’avait aucun sens, puisqu’il ne siégerait pas dans le même gouvernement que Yair Lapid. « Peut-être que nous serons avec Avi Gabay, peut-être avec d’autres. Répondit Litzman. « J’ai la tâche d’appliquer cette loi conformément aux accords de coalition, et ce n’est pas nouveau. Nous avons rédigé une loi que BAGAC ne peut annuler, mais la coalition ne l’aime pas.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Yariv Levin (qui est en pourparlers avec les Haredim au nom de Netanyahu – NDLR) a dit qu’il n’a pas d’autre loi. Peut-être que Netanyahu veut aller aux urnes, mais à partir de là nous allons gagner. Il n’y aura pas de compromis en vertu de la loi sur la conscription. « 

Un autre leader de la « judéité & Torah », Uri Maklev a déclaré dans une interview à « Maariv » à la fin de la semaine que les haredim sont entrés au gouvernement pour ne pas être les « contractants des votes » du Likoud. « Nous sommes venus servir nos électeurs. Par conséquent, lorsque la coalition propose des lois absurdes et controversées, on nous demande de les soutenir, et lorsque nous adoptons notre loi, elle est considérée comme un chantage et un ultimatum ? « 

Avant son départ pour les états-Unis, le chef du gouvernement a déclaré qu’il « ne voit aucune raison d’aller à des élections anticipées, et s’il y a de la bonne volonté, cela n’arrivera pas ».

Pendant ce temps, le principal allié du Likoud, Naftali Bennet, a blâmé le Premier ministre pour la crise de la coalition. « La crise peut être résolue s’il y a un désir », a déclaré le chef de la Maison juive. – Il n’y a qu’une seule adresse pour cela – la clé entre les mains du chef du gouvernement. S’il veut éviter les élections, il peut convoquer les dirigeants des partis de la coalition et résoudre le problème en une demi-heure. « 

En fait, ce qui est arrivé dans le passé récent, avec toutes les crises associées aux lois et aux exigences des partis religieux – avec le commerce le samedi, les travaux, le samedi sur les chemine de fer, etc. La position de Liberman n’était alors pas un obstacle, et Netanyahu manœuvrait facilement et pouvait émerger lors de situations de crise.

Alors, il faut demander aux Palestiniens de venir défendre Israël. En Israël, tout le monde doit être impliqué pour sa sauvegarde. (l’équipe du Journal)