Une suite de chiffres tatoués sur un bras fait forcément penser à un ancien déporté. En Israël, de nombreux jeunes ont décidé en souvenir de leurs grands parents de se faire tatouer avec une suite de chiffres. Une nouvelle façon pour préserver la mémoire d’ancêtres victimes de l’Holocauste.
Selon un reportage du New York Times, certains Israéliens se font tatouer comme leurs parents ou grands-parents :
«Ma génération ne sait strictement rien sur la Shoah», a ainsi confié Eli Sagir, 21 ans, tatoué depuis 4 ans, au quotidien américain.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :