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Un Israélien de 67 ans, est soupçonné d’avoir tué sa mère âgée de 91 ans et s’est ensuite suicidé. Il a laissé une lettre expliquant les motifs de son acte. Il a écrit qu’il a décidé de se suicider et qu’il ne voulait pas laisser sa mère de 91 ans, toute seule car c’était son seul enfant.

La lettre a été retrouvée dans l’appartement où la police a découvert la nuit dernière les corps d’un homme et de sa mère avec des traces de coups de feu.

La police n’a pas eu de rapports concernant des querelles entre la vieille femme et son fils. Le meurtrier n’était pas connu non plus de la police pour des faits criminels ou autre.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Les médias ont rapporté que le suspect travaillait comme agent de sécurité et qu’il avait une arme à feu. Il a également travaillé au noir dans le domaine de la médecine alternative, il faisait de la peinture et était un activiste de l’organisation des immigrants de Roumanie.

On sait qu’il y a quelque temps, il a commencé à faire face à des difficultés économiques.

L’amie du suspect, qui vivait à Ramat Hasharon, a déclaré qu’il avait longtemps été suicidaire. Il a souvent dit qu’il était fatigué de tout, et qu’il voulait se tuer avec sa mère. Cependant, la femme a cru que son ami, généralement enclin à dramatiser tout, avait exagéré et ne ferait jamais une telle chose.

Son amie pense que de nombreuses dettes l’ont poussé à se suicider, car il était une personne parfaitement normale, chaleureuse et sympathique. « Il était juste fatigué de lutter contre les problèmes financiers », dit-elle.

La femme a ajouté que la vieille mère était très attachée à son fils unique, et qu’il ne pouvait donc pas la laisser seule.

Le drame a été accentué par le fait qu’il n’avait pas de relation avec ses deux enfants. Il avait rencontré sa fille chez la grand-mère quelques mois plus tôt et son fils n’avait aucun contact avec lui. Selon son amie, ses enfants l’avaient abandonné.

Le week-end dernier, il est allé voir sa mère à Bat Yam et n’est pas revenu à la fin du Shabath. Sa petite amie a dit qu’elle avait parlé avec lui, et n’a pas remarqué dans sa voix qu’une tragédie imminente se préparait.