En un seul mois en Israël, la même scène a eu lieu trois fois dans trois endroits différents : Har Bracha, Havat Gilad et Kochav Hachachar.
Des centaines de personnes se pressaient dans un cimetière, parfois improvisé.
Les victimes, tous les jeunes Israéliens, civils, pères, maris.
Tués par des terroristes arabes palestiniens juste parce qu’ils étaient juifs.
Familles à l’agonie.
De jeunes épouses et mères en deuil, de petites communautés dévastées par la mort violente qui brise le sentiment de sécurité.
Aucune condamnation par les « partenaires de la paix » palestiniens.
Voix faibles et inaudibles d’Europe.
Titres de journaux épouvantables.
Les oreilles et les yeux occidentaux sont pleins d’images de jeunes Arabes palestiniens, souvent des imposteurs comme Ahed Tamimi, le chouchou de l’«Intifada populaire», mais jamais de ces 14 orphelins israéliens. Double orphelins. Leurs pères ont été tués deux fois. D’abord par les terroristes. Puis par l’indifférence occidentale.
C’est Israël : Une attaque à Jérusalem a eu lieu alors que deux services funéraires étaient détenus pour les deux soldats tués à Mevo Dotan, et les FDI étaient occupés à démolir de nouveaux tunnels construits par le Hamas à Gaza pour frapper les Israéliens.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :