« La Palestine et Jérusalem nous appartiennent », a déclaré le chef du Hamas, Ismail Haniyeh, cette semaine. Dans une tournure orwellienne, il a qualifié la «marche du retour» d’une «marche pacifique, civilisée et populaire».
Mais le Hamas orchestre non seulement la violence à la frontière d’Israël et l’incite. Le groupe paie 3 000 dollars pour la famille d’un « martyr » qui meurt lors d’une confrontation avec les forces israéliennes, 500 dollars pour les manifestants gravement blessés et 200 dollars pour les blessés modérés. Il semble aussi emprisonner des chauffeurs de bus qui refusent d’emmener les habitants de Gaza à la frontière pour protester.
Avec le Hamas dévoilant sa stratégie, une grande partie du monde a néanmoins trouvé plus facile de blâmer Israël pour le chaos.
Le procureur de la Cour pénale internationale, Fatou Bensouda, a averti à la fois Israël et le Hamas que chacun pourrait commettre des crimes – comme si un groupe terroriste utilisant la violence pour violer une frontière et une nation se défendant était équivalent.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :