Un habitant de Gaza a été accusé d’avoir demandé à des soldats de Tsahal de le blesser, afin de recevoir des centaines de dollars du Hamas, mais aussi de franchir la barrière en direction d’Israël et d’être arrêté.
Un résident d’Azati âgé de 20 ans, qui a participé à des manifestations près de la barrière frontalière le mois dernier, a demandé aux soldats de Tsahal de lui tirer dessus afin de recevoir un paiement de 500 dollars et une allocation mensuelle.
Bana, un résident de la bande de Gaza, est accusé d’infractions à la sécurité, y compris d’entrer dans un territoire militaire, d’appartenir à une organisation terroriste, de fournir des moyens de commettre un crime et de commettre des infractions liées aux armes.
L’acte d’accusation allègue que Bana était un terroriste du Hamas. En 2007, il a demandé à son oncle, un autre terroriste du Hamas, de le rejoindre dans l’organisation. Entre autres choses, il a participé à l’unité de tunnel et a creusé un tunnel dans la région de Saja’iya. Il a même participé à l’unité médicale dont la tâche est de soigner les blessés dans les tunnels.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Pauvre gars: demander à ce qu’on l’estropie pour recevoir une pension.
Cela montre à l’évidence que les organisations palestiniennes paient pour entretenir le terrorisme. Au lieu d’utiliser l’argent de l’aide occidentale à améliorer la situation economique, il l’utilisent pour alimenter le terrorisme.
L’occident ferme les yeux sur ces pratiques, et continue à financer sans contrôle.
En fin de compte la masse des palestiniens ne veulent qu’une chose, pouvoir vivre décemment. Et cela il ne l’obtiendront jamais de leur dirigeants plus soucieux de s’enrichir que de gerer (ce dont ils sont incapables)
De la résistance qu’on veut appeler coûte sue coûte terrorisme.
C’ est traditionnel que la partie qui domine qui décide.
Fils de pute, comment des déchets de capote comme ça peuvent prétendre au titre de journaliste, en fait c’est simple ils sont Juifs, les élus n’ont vraiment honte de rien.