Les négociations au sujet de l’Iran dans le cadre de la tournée européenne de Benjamin Netanyahu au Royaume-Uni se sont développées approximativement suivant le même scénario qu’en Allemagne et en France. Personne ne refuse de parler de l’Iran, mais il y a beaucoup de questions sur la situation humanitaire à Gaza…

La Premier ministre britannique Teresa May a déclaré qu’elle reconnaissait pleinement le droit d’Israël à la légitime défense, mais qu’elle est préoccupée par la détérioration de la situation dans la bande de Gaza et la perte de plus de 100 « manifestants » dans des affrontements frontaliers. Elle a suggéré de réfléchir à la manière d’alléger la situation et de revenir à l’idée de deux États pour les deux peuples.

Le Premier ministre israélien, en réponse, a assuré Mme May qu’Israël faisait tout son possible pour réduire les pertes, mais que la situation difficile dans la bande de Gaza n’est pas liée à Israël, mais au groupe terroriste Hamas, au pouvoir dans le secteur.

Le ministre britannique des Affaires étrangères Boris Johnson a appelé Netanyahu à entamer une enquête indépendante sur la mort des Palestiniens au cours de l’action près de la barrière de séparation. Dans le même temps, il a condamné l’incitation des dirigeants du Hamas et les récentes attaques à la roquette sur le territoire israélien.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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