Les manifestations iraniennes ont prit une tournure surprenante dans le pays, et sont en train de descendre dans la rue pour exprimer leur opposition au régime au pouvoir radical en scandant «Mort à la Palestine» et «Quitte la Syrie, pensez à nous».

Ces dernières années, l’Iran a fourni une aide financière aux groupes terroristes du Hamas et du Jihad islamique à Gaza, au Hezbollah libanais, aux rebelles houthis du Yémen et aux milices chiites en Irak. Depuis le début de la guerre civile syrienne en 2011, Téhéran a versé 6 milliards de dollars pour soutenir le gouvernement d’Assad.

Les manifestants, irrités par l’économie iranienne en train de crier, ont affronté des policiers devant le parlement lundi, les forces de sécurité leur tirant des gaz lacrymogènes.

La manifestation imprévue est survenue un jour après que les manifestations aient forcé deux grands centres commerciaux pour les téléphones mobiles et l’électronique à fermer à Téhéran, ensuite les manifestants ont fermé son grand bazar.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Il a également été signalé un malaise généralisé sous la surface en Iran à la suite de la décision du président Donald Trump de retirer l’Amérique de l’accord nucléaire de Téhéran avec les puissances mondiales.