Un terroriste d’Al-Qaïda lié à des atrocités, dont le massacre de Charlie Hebdo, est sur le point d’être libéré de prison en France – au milieu des craintes qu’il puisse retourner dans sa famille en Grande-Bretagne.

Le terroriste musulman d’origine algérienne Djamel Beghal, 52 ans, arrive à la fin de son séjour en prison pour une série de crimes liés au terrorisme, y compris la planification de faire sauter l’ambassade américaine à Paris.

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Sa femme, Sylvie, et leurs quatre enfants vivent à Leicester, où le terroriste musulman a bâti sa carrière de djihadiste sous couverture à la fin des années 90 et au début des années 2000.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Le gouvernement britannique a interdit à Beghal d’entrer au Royaume-Uni en 2009, mais sa famille s’est battue «pour obtenir cette autorisation» par l’intermédiaire de la Cour suprême et de la Cour européenne des droits de l’homme.

Une source de sécurité à Paris a déclaré : « S’il reste ici, il sera en résidence surveillée, alors il veut naturellement aller dans un autre pays. »

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La France veut expulser le terroriste le 5 août, jour de sa sortie de la prison de Vezin, à Rennes. Il a un passeport algérien, mais ses avocats insistent sur le fait que sa vie serait en danger s’il retournait dans ce pays d’Afrique du Nord où il est né.

En prison, Beghal est considéré comme le mentor de Cherif Kouachi, le terroriste musulman qui a perpétré le massacre de Charlie Hebdo avec son frère, Said Kouachi, en janvier 2015.

Il a également des liens avec Amedy Kouachi, le terroriste de l’EI qui a assassiné quatre juifs dans un supermarché casher juste après l’atrocité de Charly Hebdo.